La fin d'un temps [Denethor attendu]

Noldoroth partit du Mordor sur un grand et puissant cheval des numéoréens emprunté. Il y avait laissé son loup et se dirigea vers la cité en passant par Cair Andros. Le voyage dura quelques jours et arrivé à la porte. L'elfe corrompu clama haut et fort aux gardiens de la porte qui, gardaient la porte fermée à cause de ces temps sombres. L'elfe qui gardait son allure gracieuse avait prit ses vêtements elfiques et faisait penser aux grands Elfes de la maison d'Elrond, en voyage vers Valinor. Il stoppa son cheval, regarda au sommet des portes et cria:

- Hommes de la citadelle, je demande a voir le seigneur intendant au plus vite. Les Elfes m'envoient.

Les gardiens surpris par le fait qu'un Elfe du nord descende au Sud, ils le firent entrer, et en compagnie de quelques cavaliers, l'envoyé du mordor monta les étages de la citadelle. Pendant son ascension, il ferma les yeux et essaya de s'adresser a son maitre dans sa tête.

*Mon maitre Sauron, faites que le seigneur Denetor me voit dans son Palantir, tel un Elfe de Fondcombe et qu'il ne me sache pas ennemi de sa nation.*

Et c'est ainsi qu'il arriva au dernier étage de la citadelle. L'intendant était au sommet de sa tour entrain de contempler son Palantir. Pendant ce temps, Noldoroth avait été placé en attente sur un banc sur le bord d'un couloir. Il y avait un homme a ses côtés et deux près de la porte vers la salle d'audience. Il avait laissé ses objets dans une salle non loin de là et il demanda a celui qui l'escortait de le suivre. Il entra avant le soldat et aussitôt que le dit soldat entra, il fut poignardé a plusieurs reprise, puis étranglé. Une fois le soldat mort, noldoroth prit ses lames les cacha sur lui après les avoir infusé de poison. Il retourna dans le couloir et poignarda au coeur avec ses deux lames, chacun des deux soldats. Le poison eut bien agît, il ouvert la porte et déboucha sur une grande salle. il cacha ses lames sur lui et monta vers la tour d'Ecthelion. L'alerte n'étant pas donné, son coup marchait encore pour lui...

[MJ attendu]

Dans sa tour, Denethor attendait. Assis sur son trône d'un noir de jais, le seigneur de la Tour d'Ecthelion se tenait, courbé, le regard plongé dans la Pierre de Vision de Minas Tirith. Son Palantir, Sa Pierre... Ses yeux.

Dans les volutes habituelles qu'il discernait chaque fois qu'il plongeait le regard dans son Palantir, quelque chose retint son attention. Le Seigneur Intendant de Gondor fronça les sourcils : cette force orangée dégageait un mal sans nom, il se trouvait en présence d'une force purement maléfique. Son esprit plongea dans la Pierre de Vision, cherchant une réponse à ses questions sur cet être : était-ce Sauron ? Ou un rival ? Cet Aragorn, qui peuplait ses nuits de mauvais rêves ? Il aurait bientôt le fin mot de l'histoire. Concentré, le seigneur Denethor interrogea le Palantir sur ce qui menaçait son pays...

Une vision des plus saugrenues lui apparut : celle d'un elfe entrant à Minas Tirith. NON ! Ils venaient lui reprendre sa Pierre de Vision ! Ils ne l'auraient pas ! Elle lui appartenait, comme les rênes du Gondor ! Sombrant dans une paranoïa aigue, le vieil homme crsiap ses mains décharnées sur le globe de pierre noire : personne, PERSONNE ne toucherait à son royaume. Il était à lui, A LUI !

Mais une autre vision s'imposa bientôt à lui : celle d'une entité noire, nimbée de flammes, sous la forme d'un oeil gigantesque au milieu du Néant. Sauron... Evidemment. Un soupir s'échappa des lèvres serrées de l'Intendant alors qu'il se préparait à faire face à cette menace. Rapidement, tout devint flou autour de lui, et il sombra dans d'infinies ténèbres...

***

Il se trouvait dans le Vide. Il flottait, alors que l'OEil se rapprochait de lui, sa voix grave grondant tel le tonnerre à ses oreilles. Dans un bruit sourd, l'OEil mua en une silouhette en armure complète, un géant, tel qu'était Sauron lors de la Bataille de la Dernière Alliance où il fut défait. Mais il était trop puissant... Denethor leva la main, et une épée d'argent apparut dans sa propre main, tandis qu'une armure de même facture au symbole de l'ArBre Blanc le protégeait désormais contre toute attaque. Le combat s'engagea...

"Tu ne m'auras pas ! songea Denethor, Je sauverai mon peuple ! Le Gondor ne t'appartiendras jamais !"

***

L'Intendant se réveilla, suffocant. Le combata avait été éprouvant, mais il n'avait cédé aucune information à l'Ennemi, malgré sa nouvelle puissance. Le Gondor ne tomberait jamais. Lui vivant, jamais l'Arbre Blanc ne serait profané...
Beren se présenta devant lui, la mine inquiète :

"Mon seigneur, allez-vous bien ?"

Ce à quoi Denethor répondit, dans un murmure :

"Pas aussi bien que je le devrais, hélas... Qu'est-ce que c'est ?"

Beren eut une mimique embarassée, avant de répondre, gêné :

"Un elfe se présente... Il dit vouloir une audience, mais si vous vous sentez souffrant..."

Denethor se redressa immédiatement, honteux de faire preuve de faiblesse devant ses hommes. D'un geste, il interrompit Beren, et parla :

"Doublez la garde, à l'extérieur comme à l'intérieur. On dit beaucoup de choses sur leurs prouesses, et les elfes ne sont pas nos amis."
Puis, après que Beren ai donné les ordres nécessaire :

"Faites-moi chercher de l'eau. Et faites entrer."

Noldoroth, ayant caché les corps des gardes, attendait toujours sur le banc au bout du couloir. Il avait caché son équipement à un endroit qu'il puisse le saisir au moment de sa fuite. Il lui restait encore du poison pour l'Intendant. Il n'avait que ses dagues, son poison et son équipement de défence sur lui. Alors, il vu, un cour instant, l'œil, l'œil de Sauron.

*Denetor est au Palantir, il doit sûrement être entrain de se faire détruire par sauron.*

Il vu passer deux gardes armés. Il arrivèrent près de lui et lui demandèrent

- Vous êtes seul ?

- apparement ! Répondit-il. Ils-ont du s'absenter pour un moment. Où alliez-vous ?

Les deux gardes le regardèrent d'un air soupçonneux : peut-être se doutaient-ils de quelque chose ? Noldoroth se tendit, près à leur régler leur compte comme il l'avait fait avec les autres, mais la porte annexe s'ouvrit à la volée. Quatre gardes de la citadelle entrèrent, escortant Beren, leur capitaine, le héraut du Seigneur Denethor. Jetant un regard méfiant à l'elfe, puis un regard inquisiteur dans la pièce, Beren parla à Noldoroth :

"Le Seigneur Intendant vous attend. Néanmoins, avant d'entrer, il vous faudra me remettre vos armes, car le Seigneur Denethor ne fait pas confiance à votre race. "

Puis, ses gardes toujours à ses côtés, Beren attendit, dévisageant l'elfe d'un air suspicieux.

Ayant caché ses lames sur lui, Noldoroth hocha les épaules.

- J'ai laissé mon équipement sur mon cheval. Voyez ! Je n'ai rien sur moi à part ça !

Il sortit un poignard derrière son dos, le déposa sur une table, puis sortit son épée Elfique. Il était plus sage de ne pas attaquer cet homme tout de suite. Une fois qu'il eut déposé ses armes, il regarda Beren.

- Ne trouvez-vous pas que votre seigneur est devenu différent de sa jeunesse. Il a été aveuglé par Sauron le maitre des ténèbres et il a peur. Le comble est qu'il se trouve aux portes des terres noires.

Il resta ensuite en silence attendant les indications de Beren.

Beren prit les amres qu'on lui tendait, avant de dévisager Noldoroth d'un air suspicieux. Comme celui-ci le regardait d'un air impassible, il se contenta de hausser les épaules avant de répondre d'une voix assurée, ignorant sciemment la critique innocente de Noldoroth :

"Le seigneur Denethor manque de temps en ces instants troublés. Mon seigneur l'Intendant Denethor n'a pas perdu le courage et le force de se battre de sa jeunesse, bien qu'il opère à présent de différentes manières afin de repousser l'OEil de l'Ennemi d'ici."

Puis, d'un air plus neutre, il ajouta, regardant l'elfe dans les yeux :

"L'Intendant de Gondor va vous recevoir dès à présent. Néanmoins, comme je le disais, il manque de temps, vous devrez donc partager votre audience avec le sieur Grimbeorn, qui vient lui aussi rencontrer l'Intendant."

Voyant que le second visiteur arrivait en effet, Beren parla de nouveau, s'adressant cette fois autant à Grimbeorn qu'à Noldoroth :

"Lorsque vous entrerez dans la salle du Trône de Gondor, avancez d'une trentaine de pas. Arrêtez-vous aux dernières statues, à douze mètres du trône : c'est là la marge de respect que vous devez au seigneur Denethor, vous n'êtes pas autorisés à vous approcher plus avant !

Veuillez me suivre, et entrer."

Et, poussant les portes de la salle du trône, Beren entra avec ses quatre gardes de la Citadelle, précédent les visiteurs. Devant eux se trouvait un grand trône blanc, au sommet d'une estrade de marbre. A son pied, un petit trône noir accueillait l'Intendant de Gondor, Denethor II...

Boromir se trouva devant le seigneur Denetor. Mais à côté de lui, se trouvait un hommes aux allures rustres. En silence, il fit signe a Grimbeorn de commencer. Il avait l'allure d'un elfe de la forêt noire, mais même ça, le seigneur du Gondor se méfiait de tout ce qui n'était pas de ce qu'il conaissait, ou du moins, côtoyait souvent.

- Je vous laisse commencer cher homme du nord.

Dit-il avant de s'éloigner un peu et de 'accoter sur la statue. Comment avancer de douze mètres sans se faire remarquer. Et ce héraut, qui paraissait être sans arrêt aux aguets, puis ces soldats derrière eux. Il commença a envisager tout les scénarios possibles. En silence, il resta là.

Ainsi enfin il était arrivé dans la salle du trône. La marche depuis le Nord lui avait semblé plus court que la démarche administrative pour voir l'Intendant!
Mais bon, en ces temps troublée de guerre infinie, le temps manque a Denethor II, intendant du Gondor, jusqu’a maintenant.

Denethor II, fils d'Echtelion, long et dur a été le chemin pour monter jusqu'a vous!

Je connais ma cité, seigneur du Nord. Je sais à qu'elle hauteur je trône! Parlez vite, mon temps est précieux, pas comme celui d'un fermier que vous êtes.

Ainsi il prenait Grimbeorn a rebrousse poil! C'était une erreur de jugement terriblement dangereuse.

Votre courtoisie a bien diminuée, Intendant. Selon les chansons du Nord, votre ligner était belle et sympathique, avant!

Denethor l'observa, se demandant si il devait laisser sa colère parlez ou bien le recevoir, malgré le manque de temps que Grimbeorn ne voulait pas reconnaitre.

Je serai être digne de mes ancêtres, Sir.

Vous ne seriez pas digne de porter des vêtement de vagabond, Mon seigneur. Vous n'avez plus la force nécessaires pour combattre, Cair andros a été perdu, Pelargir a été pillé, un village, en Ithilien, a été brulé et ses habitant massacré et personne n'a rien fait! Vous êtes un Intendant juste et un érudit, c'est certain, mais pas un combattant. Votre fils seul n'a pas la force de battre l'Umbar, le Mordor et le Druadan.
Donnée moi un poste, faite moi Capitaine, ou Général de l'Ithilien par exemple, et je vous jure que votre puissance n'aura plus a être déployée contre plusieurs ennemie a la fois avant longtemps.

Denethor restai pensif, il attendait d'autre argument plus convainquant de la part de sont interlocuteur

Je vais être clair, je ne vous aime pas. Un Roi ne devrait pas demandez a sont peuple de faire ce que lui ne fait pas! Voila ce que je pense.

Vous pensez autrement et tout le monde a le droit de penser comme il veut mais je ne tolérerais pas, après avoir vu le mien mourrir, qu'un autre peuple subisse le même sort. Mais je ne veux pas me suicider mais servir le Gondor. Nommée moi a un titre élevée et donnée moi ainsi une bonne paye, et avec sa en retour je vous donnerais la protection et la paix.

Pendant que vous réfléchissez, je vais laisser le Seigneur Noldorth s'exprimée.

Et Grimbeorn recula pour laisser la place a Noldoroth de faire ce qu'il avait a faire.

Noldoroth qui n'avait fait attention a Grimbeorn, se fit retirer de dans ses pensées par Beren, qui le rapella a l'ordre. Ayant constitué un plan qu'il juegait assez bon, il prit la parole. Ayant compté au total trois gardes dans la salle (comprenant Beren) et deux à l'éxterieur, il serait sage d'agir vite. Aussitôt il commença a parler tel un elfe et avec le caractère d'un Elfe. Il s'avança, et avec aucun signe de menace et en ne pensant pas attaquer l'intendant tout de suite.

- Avant toute-chose, Beren. Pourquoi imposer une aussi grande limite de sécurité envers Denetor II et nous. Moi, je ne crée pas une barrière de sécurité autours de moi, et vous ni de vous. Avant toutes choses.

Il franchit la limite.

- Le seigneur Denetor II ne mérite pas l'éloge et le respect d'un roi. Ces ancêtre ne l'ont jamais mérité et sa descendance non-plus.

Il s'adressa à l'intendant.

- Vous n'êtes qu'un homme, un homme au commandement d'un pays, mais vous ne devez que le maintenir en l'absence du roi. Excusez-moi, mon seigneur, mais cette limite me gêne. Revenons-en aux faits.

Dit-il en se raprochant de Denetor II et de Beren

- Mon peuple se fait détruire par les nombreuses attaques provenant du nord. Vous nous avez envoyés votre fils au conseil d'Elrond. Je l'ai côtoyé longuement durant des semaines. Brave guerrier qu'est-il. Et en voyant votre fils, j'ai pensé que ranimer l'alliance qu'avait autrefois nos peuples, aideraient a détruire sauron et a éparpiller à tout les coins de la terre du milieu, les orques et trolls.

Un cri de loup se fit entendre et Noldoroth regarda dehors.

*Il doit y être*

Il se retourna vers l'intendant.

-Mais cette alliance, mon chers détenteur temporaire des reines du gondor. Ne sera pas gratuite de notre part. Qui voudrait d'une alliance avec notre royaume.

Son regard devint intense. Il sourit

- Nous allons vous offrir quelque chose. Cette chose aidera les gens de mon royaume et du votre. Mais ce don vous sera offert plus tard. Alors, accptez-vous ?

En fait, ce discour n'était qu'une occasion pour que Noldoroth s'approche du seigneur sans lui faire de menace et que Beren se rende compte que l'Elfe ne cherchait pas a assassiner le seigneur. Mais Noldoroth était rusé et savait que s'il avait cherché a blesser l'intendant durant l'audience, il serait mort. Donc, il recua lui aussi et laissa le seigneur dans ses pensées.

Denethor n'avait pas l'air très heureux de se trouver face à un elfe, et sa réplique fut plus qu'injurieuse pour le peuple elfe :

"Votre peuple ne sera jamais le bienvenu en ces lieux !"

Puis, se prenant le visage à deux mains, il se reprit et nuança son propos :

"Il n'est aucune confiance pouvant vous être accordée : vous aidez régulièrement celui qui chevauche aux côtés de Mithrandir... Mais il ne me dépossèderas PAS de mon trône ! Les rênes du Gondor m'appartiennent !!!"

Une grande lassitude se lisait sur son visage :

"Je ne vous accorderai que l'hospitalité, et seulement ceci. Mais vous logerez au cinquième niveau, et repartirez d'ici trois jours..."

Enfin, une noble expression se lut sur son visage lorsqu'il se tourna vers Girimbeorn, à qui il parla en ces termes :

"Pour quelles raisons comparaissez-vous devant moi, Grimbeorn, car c'est là votre nom, n'est-ce pas ?"

[ta oubliée de remonter un peu je croie. Je tes deja repondu Denethor]

Cette insulte lancé a l'encontre des Elfes était audieuse. Grimbeorn se dit que si Denethor offrai ainsi sont hospitalitée, peu nombreux devait etre ses amis.

Je vous l'ai deja dit mon Seigneur, ce que je veux et ce que je pense de vous.

Denethor se faisait vieux, effectivement. Si il ne se rappelle plus la conversation qu'il vient d'avoir, Grimbeorn de ne courrir a sa perte sous ses ordres. Mais enfin, il était tros tard a présent.
Et je ne pense pas qu'il est une deuxieme chance de répondre a ma question...

Jusque là, l'Intendant de Gondor s'était laissé dominer par son côté le plus fou et le plus irascible : il faisait donc très mauvaise impression. La remarque de l'elfe, et ses injures dissimulées, tout comme son mépris affiché des règles de Minas Tirith, avaient eu raison de la limite que Denethor faisait entre ses deux personnalités. Mais, alors que son regard volait de visages en visages, il croisa celui de Beren, son héraut, qui l'observait avec un égal mélange de tristesse et de... pitié ? Non ! La noble conscience de l'Intendant s'interdisait de sembler faible face à l'adversité, ou même devant ses alliés. Le visage entre les mains, le vieil homme sur le trône noir resta un moment silencieux, après la réplique de Grimbeorn. Puis sa fierté reprit le dessus, et c'est calmement qu'il écarta les mains de son visage, avant de se lever, se tenant droit pour un vieillard portant une cotte de mailles et une épée.

Alors, tous ceux qui se trouvaient dans la salle virent que quelque chose avait changé en lui : la lueur démentielle dans son regard avait laissé place à une lassitude incommensurable, doublée néanmoins d'une incroable détermination. Le portrait que l'on se faisait de Denethor II, aux heures de sa jeunesse pourtant passée depuis longtemps. Alors, avec un maintien des plus nobles, Denethor, le véritable Intendant de Gondor, prit la praole à nouveau, et sa voix était ferme, et portait loin :

"Je suis sincèrement navré. Vraiment. Il n'était pas digne de ma fonction de vous accueillir pareillement. Grimbeorn, recevez mes excuses pour mon manque d'attention. Ces-derniers temps, maintenir l'OEil de l'Ennemi à distance de cette cité a consommé mes nuits, et ma résistance avec elles.

Après ces luttes mentales, je ne glane plus suffisamment de repos pour être présentable en public comme mon rang l'exige. Mais cette faiblesse est maintenant passée, revenons à nos affaires."

Puis, l'air concentré, il fit mine de répugner parler à Noldoroth, comme s'il sentait instinctivement qu'il devait s'en méfier. Il lui accorda néanmoins une réponse plus convenable :

"Visiteur elfe vous serez donc en ces lieux, mais je ne puis vous abriter longtemps en mes murs : nos réserves de nourriture en cas de siège ne doivent pas être entamées, et sont irremplaçables par les temps qui courent... d'autant plus que votre but ici m'est inconnu..."

Et, à Grimbeorn :

"Toutes mes excuses pour l'inattention que je vous ai témoigné... c'était indigne de ma part, et vous m'en voyez encore fort contrit.

En ce qui concerne la perte de Pelargir et de Cair Andros, sachez que leur protection incombait initialement en premier lieu aux responsables d'Ithilien, et aux princes des Fiefs.

Ils y ont failli, je vais donc devoir agir, mais la sécurité d'Osgiliath et de la Cité Blanche passe avant tout, car l'assaut direct de l'Ennemi est proche.

J'enverrais une armée à Pelargir dans les prochains jours. Le Gondor possède quand même la force de tenir tête au Mordor, malgré sa nouvelle puissance, je l'empêche de nous espionner.

Il y eut un bref silence, après quoi Denethor poursuivit :

Quant à vous, seigneur Grimbeorn, je puis vous accorder le rang de Maréchal de Gondor, afin que vous meniez cette force de reconquête... si vous l'acceptez.

J'espère que vous prêterez serment d'allégeance à la Tour Blanche, et que vous pardonnerez la fatigue d'un vieux roi sur lequel pèsent et le poids de l'épée, et celui de l'armure, en plus du fardeau des responsabilités d'un ays fortement éprouvé par l'Ennemi."

La force semblait avoir soudain illuminé l'intendant, qui paraissait plus grand, comm si le lointain qang de Numenor qui il y avait chez les Roi était passée au Intendant.

Mon seigneur, vous n'avez pas a vous excuser de tenter de servir au mieux votre peuples. C'est tres noble de votre part de perdre des heures de sommeil pour sauvez votre peuple.
J'espere pouvoir vous aidez au mieu dans cette tache.

Alors, Grimbeorn sorti sa hache Naines, la retouna, les lames en bas, et s'agenouilla.

Je prete serment d'allégances a l'Intendant du Gondor, jure de défendre ma nouvelle patrie et de défendre la vie de sont peuples et de sont intendant jusqu'a que la mort me prenne ou que mon Seignuer me délivre de mon serment.

Nolodroth, je vous en prie, si vous avez autres chose a dire, allez s'y!

Et Grimbeorn, la hache a la main, recula et attendi.

Quand le seigneur Denetor fit mention de lui en disant le mot : Roi, Noldoroth fit mine d'être soudain saisi d'une quinte de tout. Puis dévisagea le seigneur.

*Il est revenu à lui. On dirait un nouveau visage, un deuxième visage. Causé par mon maitre.*

- Je voit que votre royaume est aux prises avec l'ennemi. N'auriez-vous pas besoin de l'aide des royaumes Elfes, ou au moins, de soutiens. Votre réserve de nourriture n'est pas grande, dites-vous. Alors, profitez-en pour toujours faire le plein de ressources essentielles. Et si vous ne tenez qu'a Minas Thirit et à Osgiliath, aucune raison de se demander pourquoi l'Hitilien devient possession du mordor et que les fiefs sont attaqués par Umbar. Vous manquez d'hommes. Et vous n'aidez pas vos alliés. Ne vous attendez pas a ce qu'ils vous aident par la suite. Vos fils par contre, vos fils eux le font. Ils mènent les hommes au combat vaillamment.

L'elfe demeura neutre malgré ses propos. Il commençait a mettre son plan en marche.

Denethor garda son calme, et son maintien resta digne de sa noble ascendance lorsqu'il répondit doucement à l'elfe :

"Je ne sais pas quelle aide vous m'apportez, vous, en tous cas. Du moins, je suis certain que les ressources du Gondor sont les plus importantes de la Terre du Milieu, après celles du Mordor, tout au moins..."

Il fit quelques pas, avant de dévoiler la garde de son épée, à sa taille :

"Je ne puis défendre le Gondor de la même manière que mes fils... mais je n'ai jamais dit que Minas Tirith seule importait : elle et Osgiliath ont simplement la priorité en teres de forces armées. Cela ne signifie en aucun cas que je néglige mon royaume."

Le regard se perdant dans le lointain, Denethor II se saisit de son fourreau, le détacha de son ceinturon, et, le prenant à deux mains, observa les longs filigrannes argentés qui couraient le long de l'étui de cuir ouvragé. Puis, d'une voix qui venait de loin, il ajouta :

"Je n'ai plus la force de me battre, mais j'ai néanmoins engendré deux vaillants capitaines, défenseurs et grands combattants : Boromir et Faramir défendent le Gondor mieux que je ne le ferait à leur place.

Il me revient en revanche de défendre le royaume contre les intrusions de l'OEil de l'Ennemi cherchant à nous espionner : je gère de même les affaires administratives du pays...

Mais je ne vois pas ce qu'un elfe pourrais en avoir à faire, car il ne viendrait certes pas en ma forteresse afin de m'accabler d'accusations mensongères..."

Grimbeorn, suivant toujours la secne des yeux, et la hache a la main suite au serment qu'il venait de preter, il se déplaca jusqu'a la porte, pour pouvoir ainsi fuir ou bloquer l'issu si la situation dégénérai. Mais pourquoi mon Seigneur se méfiait-il?

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

Je suis désolé de mon retard, je vous renvoies à la section Absences pour en savoir plus... après la pub.

Bon, sérieusement, non, Noldoroth, tu ne peux pas faire entrer ton loup et deux orques comme ça. Tout d'abord, les rangers à Minas Tirith, ça ne court pas les rues et les gardes vont contrôler toute personner suspecte (toute personne encapuchonnée quoi) et un orque n'a pas la posture d'un humain (les jambes arquées, le dos bossu, sans parler de l'odeur) et l'histoire des passages secret va un peu vite. Je laisse donc à Noldoroth le soin de poster un nouveau message, j'efface le précédent et tous ceux qui suivent.

[Bon je m'y remet]

Noldoroth sourit tout à coup. Son plan marchait et il savait que toute alliance entre les deux ennemis de son maitre était impossible. Cette alliance qui l'avait détruit autrefois. Il commença a faire les cent pas autours de la pièce en riant. Puis il s'arrêta. Un cri strident se fit entendre. La plupart des guardes avaient bouchés leurs oreilles sous la force du cri. On entendait à l'éxterieur, des voix d'hommes disant :

- Les Nazguls !

Puis une grande bête ailée pénétra dans la salle du trône en détruisant une fenêtre. Sur son dos, étaient assis deux capitaines Uruk-haï. Ils descendirent de la bête et engagèrent le combat contre les gardes de la citadelle aidés par la bête ailée. Noldoroth la monta et y sortir tout son équipement qui était rangé dans la scelle. Il redescendit et tira à l'arc quelques ennemis. Son infiltration avait réussie. Il sortit ses deux dagues imprégnés de ce poison mortel acheté chez ce marchand de poison du Mordor et se prépara a combattre l'intendant du Gondor et a l'assassiner.

- Pour tout vous dire, vous m'avez rassuré. La plus grande crainte de mon maître est une alliance entre les elfes et les hommes. Maintenant j'aurais au moins une bonne nouvelle a raconter a mon maitre si le reste de mon plan échoue.

Il se rapprocha de Denetor et se donna un élan pour essayer de lui trancher la gorge. Il fallait faire vite, car l'intrusion de la bête avait alerté toute la citée, malgré la vaillance de ses deux Uruks et de sa bête ailée, ils ne tiendraient pas longtemps.

[mieux ?]

[Tssss, laisse tomber, ce n'est pas réaliste =) Néanmoins, à la rentrée, je cure mon nombre de personnages, donc Denethor passera à la corbeille x) Patiente.]

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