Arrivée du haut de la citadelle

Stapian, avec son bâton de marche, gravit une par une, les étages de la forteresse. Il rencontra plusieurs gens sympathiques et en apprit beaucoup sur le monde présent. Où les Elfes partaient de la terre du milieu. Les hommes étaient faibles et sans roi. Et les nains restaient dans les montagnes a protèger leur trésor. Certaines choses, il le savait déja mais bon.. Il arriva à la porte du Septièm étage. Il tourna vers la falaisenet vu la splendide vue qu'offrait le haut de la capitalle de Gondor. L'homme se dirigea vers le garde.

- Bonjour, je.. j'ai un message a livrer au roi Il se racla la gorge excusez-moi. Intendant, j'ai même un laisser passer que quelqu'un m'offert au cours de ma route. Si le Seigneur n'est pas présent, j'attendrai ici.

Le garde remarqua que Stapian était pied nu. Avec son vieu manteau, sa canne de bois pourrit et son visage ainsi que sa barbe, souillés par le voyage, le garde hésitait. Pour lui, il avait plus l'air d'un mandiant qu'un sage. Le viel homme sourit

- ne vous fiez pas juste aux apparences, j'en sais un rayon sur la magie, plus que toi tu connait ta femme. Je suis plus sage que le plus futé des magiciens. Et je peu me battre a main nue avec un troll.

- vraiment Coupa le garde amusé. Donc, battons-nous et je te laisse passer.

- fais attention a ce que tu dit jeune homme. Mais si c'est ce d'on tu as besoin pour me laisser passer, hé bien, j'approuve.

Alors que la situation semblait sur le point de dégénérer, cinq gardes de la cour de la fontaine arrivèrent. Leur capitaine, Beren, Héraut du Seigneur Intendant, s'approcha du garde et de Stapian, et s'adressa au vieux mage, souriant :

"Paix, monseigneur. Si vous désirez une entrevue avec le seigneur Denethor, point n'est besoin de défier en duel tous les gardes de Minas Tirith. Veuillez me suivre."

Et, d'un geste de sa main gantée, il ordonna aux quatre autres gardes de la cour de la fontaine de l'escorter jusqu'à la salle des trônes. Puis il leur emboîta le pas, pensif...

Stapian regardait l'arbre blan du Gondor. Autrefois splendide et plein de vie. Il remarqua qu'il était mort maintenant. Il continua a marcher et arriva devant la porte. Un des gardes l'interpella.

- vous vous apprêtez a pénétrer dans la demeure de l'intendant.

Stapian hocha la tête.

- Merci monsieur, que les Valars vous apporte grâces.

Il pénétra dans la salle.

Beren le suivit à l'intérieur. Tout en longeant les statues des plus grands rois du Gondor, Beren observait Stapian du coin de l'oeil : que venait faire cet ermite ici, se demandait le garde de la cour de la fontaine en avançant jusqu'au trône de l'intendant. Arrivé devant Denethor, le capitaine de Gondor se décala d'un pas vers sa droite, et annonça :

"Monseigneur, voici l'ermite Stapian, que vous avez accepté de recevoir en ce lieu. Je ne sais rien de sa raison de venir s'entretenir avec vous, aussi le laisserais-je vous expliquer la chose lui-même..."

Stapian arriva decant Denetor. Il s'inclina et se releva.

- Bonjour seigneur du Gondor. Au nom des Valars je suis chargé de les renseigner des évènements de la terre du milieu. d'après mes informations, vous avez un Palantir. J'aurais bien été chez Saroumane mais sa demeure s'est transformé en gigantesque base d'Uruk Ai.
Si vous me permettez de l'uttiliser. Je vous remercierais.

Il sourit et s'inclina de nouveau.

Le visage de l'Intendant se crispa, et ce qui avait été une expression accueillante et ouverte devint brusquement un masque de profonde antipathie. Les traits déformés, Denethor II se leva de son trône, et, les poings serrés, resta là, figé dans sa fureur profonde.

Mais, alors qu'il semblait sur le point de s'emporter, Beren s'avança d'un pas, l'air inquiet. Surprenant dans le regard de son héraut un soupçon de pitié (du moins lui sembla-t-il), l'Intendant de Gondor se rassit lentement. Son visage exprimait maintenant une profonde lassitude : celle d'un homme qui jette un regard critique sur sa manière d'agir... Il n'y aurait pas de mal à ce que Stapian utilise le Palantir. Aussi répondit-il à l'ermite :

"Si vous pensez pouvoir utiliser cet ancien artefact, alors faites. Mais sachez néanmoins que seul un esprit fort peut voir ce qu'il veut à travers les Pierres de Vision, car l'Ennemi de l'Est déforme la vérité lorsqu'il la voit lui aussi. Ce qui nous paraît réel ... n'est alors que fantasmes..."

Sa voix devint saccadée, irrégulière, alors que ses yeux fixaient le mur opposé :

"Car le Grand OEil de Barad-Dûr voit ... toutes choses ... et c'est une véritable épreuve tant morale que physique que de se mesurer à lui pour entrevoir ce que l'on désire observer..."

- Je sais

Dit il.

- Je ne suis pas venu en vain.. Sauron est bien petit par rapport à morgoth.....le seigneur des valars. Il détruisit toute la terre du milieu et vous petit homme. Votre race est faible. Vous ne savez pas toute les tortures qu'on m'a fait. Que ce soit les goblins. Les créatures de l'Angmar ou les orcs de la forêt noire... j'en connait beaucoup plus sur la terre du milieu.. sur le premier âge, que tout vos livres.. j'était aussi là sur le flanc de la montagne du destin.. Parmi les elfes.

Il se calma a son tour, sentant qu'il s'emportait. Il sourit

-Je connait la puissance de sauron. Et je n'en ai pas peur. Donc je répète ma question, pourrais-je utiliser le palantir du gondor... l'objet que vous utilisez pour voir...

*le vieil intendant. Il m'averti de me méfier de l'oeil, alors qu'il en est aveuglé.*

A ces paroles, le seigneur Denethor se crispa imperceptiblement, supportant difficilement l'outrecuidance du vagabond. L'un de ses poings se crispa sur le rebord de son trône noir, puis il se calma tout aussi doucement et répondit, l'air las et fatigué de cette discussion :

"Faites, en ce cas, faites... Si vous pensez en tirer quelque chose, alors faites..."

Puis l'Intendant se leva, et, faisant signe à Beren de conduire Stapian au Palantir, dans sa tour, Denethor se retira, l'air pensif...

» L'arrivée de Gildor.
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