La bataille du Gouffre de Helm

Maître du Jeu Nombre de messages : 903 Date d'inscription : 21/10/2008

Sous la double charge dévastatrice, les derniers orques et uruks succombèrent jusqu' au dernier. Le Rohan avait une victoire décisive, mais l' Isengard était encore intact, et les Rohirims et Gandalf allaient sûrement remédier au problème posé par Saroumane. Les rohirims allaient donc marcher sur l' Isengard.

Note: En réalité attendez le post de Gandalf pour arriver en Isengard, il doit avoir le temps d' envoyer ses Ents le détruire avec Sylvebarbe.
Merci pour cette bataille.

Fin de la bataille. Profils mis à jour.

Théoden, en plein milieu de la plaine avec ses chevaliers, son étendard et Eomer, tailladait les Uruk-hai qui s'enfuyaient. Dans sa main, Herugrim, coulante de sang noir, chantait un hymne à la mort chaque fois qu'elle s'abattait sur les armures rouillées de ses ennemis. Se jettant encore plus en avant, le roi de Rohan donna une puissante estocade à celui qui semblait être le chef des Dunlendigs lors de cette bataille. La rancune ancestrale qui existait entre ces deux peuples venait enfin d'avoir un vainqueur, et c'est avec un goût amer de sang, de sueur, et de poudre dûe à l'explosion du mur que Théoden vengeait ses ancêtres, et en particulier Helm Poing de Marteau qui avait périt face aux hommes du pays de Dun, et dont le cadavre était resté debout pour ne pas s'incliner face à tels ennemis.

"Victoire ! A nous la victoire !"

C'est ainsi que Théoden ralentit le pas de Nivacrin avant de rejoindre les forces du Gondor sous le commandement de Boromir et de Mithrandir. Alors, il se relança au galop à la poursuite des reste de l'armée éparpillée de Saroumane. Le seigneur des chevaux se rendit compte que la forêt avait avancée et les chevaux avaient de plus en plus de mal à progresser. Gandalf, d'un geste empli de sagesse, fit signe à tous de stoper leur fougue alors que les uruk pénétraient dans la forêt. Quelques instants plus tards, ils étaient "dévorés" par les arbres, huorns moins modérés et calmes que les Ents, mais qui pourtant avaient su ne pas rejoindre le camp de l'ennemi. Le roi du Rohan s'adressa alors à Gandalf et Boromir :

"Je suis heureux de vous retrouver mes amis. Ces heures sombres ont bien fini par nous apporter jours meilleurs mais j'ai bien peur que ce ne soit que pour un temps. Malheureusement, je ne possède pas votre esprit tactique, Fils du Gondor, ni votre sagesse Gandalf. J'aimerais que vous me disiez les dernières nouvelles car Fort-le-Cor a été mon foyer durant de longs jours pendant lesquels j'ai dû vivre en autarcie avec les miens."

Gandalf eût à peine un sourire, puis replongea dans ses pensées, tourné vers l'Ouest : vers l'Isengard... Lorsque Théoden cessa de parler, Mithrandir recouvrit l'usage de la parole :

"Il nous faut à présent nous hâter... Que tous les hommes encore valides et capables de chevaucher me suivent, vers l'Isengard !"

Grimbold s'avança vers Gandalf et lui annonça :

"Je vous suivrai, Mithrandir, ainsi que mes troupes !"

Théoden rassembla ses cavaliers. Guthlaf rleeva l'étendard couvert de sang et alla le tremper dans les eaux des cavernes scintillantes. Cette fois, le roi du Rohan prit directement la tête de ses troupes au lieu de rester en arrière à commander de loin. Il se mit aux côtés de Grimbold, d'Eomer, de Boromir et de Gandalf, sa bannière flottant derrière lui, pour rapper sur l'Isengard le coup de marteau qui fera tout tomber de cette tour d'obsidienne.

Boromir, souriant, prit la tête de ses cavaliers. Aux côtés de Théoden et de Gandalf. La bannière du Gondor traversée par les rayons du soleil. Ce peuple... Le Rohan!
Haldor vint chevaucher près de lui.

- mon seigneur. Les palissades sont montés, mais je ne crois pas qu'ils repousseront l'ennemi.

- En tout cas, il est plus pratique qu'avec les murs. Merci!

Et l'armée de cavalier s'en fut vers l'Isengard

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