La bataille du Gouffre de Helm

[Bien, la bataille va bientôt commencer. Plus personne ne peux plus venir au Gouffre. Les défenseurs présents sont:
-Théoden
-Eomer
-Arzaabald
-Gimli
-Haldir
-Legolas.]

Déroulement:
Vos propres armées ne subirons que des pertes minimes, mais en tout, les rohirims ne serons qu' environ 300/400, comme dans le film, sauf pour les elfes d' Haldir (on s' est arragés par MP), qui seront au nombre de 250. J' appelerais à poster chacun d' entre vous. Voilà, n' hésitez pas a bien Rp, ou à immiter le film ou le livre, de toutes façons, vous serez rétribués en experience;et se sera plus beau.

Arbitrage:
Pour cette bataille, je me fie au principe de l' auto-arbitrage, c' est à dire que vous décrivez vous même l' effet général de vos actions et de celles de vos hommes, sans exagérer et en respectant le film et le livre, si possible. Je serais de toutes façons là pour veiller à un bon déroulement de la bataille, cooriger les abus involontaires, et veiller aux tournants de la bataille.]

Les premiers à être apellés sont:
Lurtz et Sharku, pour décrire l' avancée de leur armées jusqu' a portée d' arc des remparts.

Les armées de la Main Blanche avançaient, disciplinées, de leur pas lourd et assuré, vers le Mur du Gouffre de Helm. De lourds nuages couvraient la région, la plongeant dans une semi-obscurité alors que la pluie envoyée depuis Orthanc par Saroumane commençait à tomber sur les lieux. Alors que le terrain se détrempait à vue d'oeil, Lurtz, en armure complète, monta sur un imposant rocher au milieu de l'armée d'Isengard, et, soudainement, leva son poing fermé à hauteur d'épaule en poussant un cri retentissant. Presque immédiatement, les armées de Saroumane s'immobilisèrent, à la limite de la portée d'un arc standard depuis les murs. Un silence pesant s'installa, troublé uniquement par le clapotis maintenant omniprésent de la pluie...


Lurtz observait les remparts : cette forteresse était solide, mais ne résisterait pas à l'assaut des combattants Uruk-Haï. Les berserkers entouraient Lurtz, au centre de l'armée, tandis que les piquiers soutenaient les combattants sur la longueur face au mur. Des échelles étaient prêtes à être montées, le bélier arriverait ensuite à la porte. Alors, les chevaucheurs de Sharku s'engouffreraient dans le fort.


Puis le champion de Saroumane leva son épée vers les murailles de Fort-le-Cor, défiant quiconque parmi les défenseurs de l'affronter en duel. Alors qu'aucune réponse ne venait des murs du Gouffre, les Uruks-Haï de l'armée commençèrent à marteler le sol de leurs piques, ou à frapper leur bouclier de leur épée. Une sourde cadence s'éleva, lente, puis de plus en plus rapide et rythmée. La cadence enfla en importance, tandis que l'armée Uruk-Haï mettaient les défensuers du Gouffre plus encore mal-à-l'aise qu'ils ne l'étaient déjà...

Sharku se tenait en effet en retrait, prêt à charger avec ses chevaucheurs de warg lorsque la porte serait détruite par le bélier des Uruks. Il caressait sa monture en riant sadiquement en pensant au massacre à venir, et au repas que cela fournirait aux wargs...

Sharku attendait donc que l'assaut soit lancé, et que Lurtz lui fasse signe de lancer sa cavalerie en avant...

Pendant ce temps, sur les murs du chateau, Legolas et Gimli, qui se situaient sur le mur, à côté des elfes d' Haldir, discutaient:
-Peuh, vous auriez pu choisir un meilleur endroit! dit Gimli, dont la tête ne dépassait pas du parapet. Mon ami, quelle que soit votre chance, pourvu qu' elle passe la nuit.
Legolas se tourna vers Haldir, juste derrière lui:
"Vos amis sont avec vous, Haldir."
"Pourvu qu' ils passent la nuit." Répondit Gimli.

Haldir passa alors ses troupes en revu, les incitant a ne montrer aucune pitié, tandis que Gimli questionnait son compagnon elfe, ne voyant pas par dessus le mur:
"Qu' est-ce qui se passe, là-bas?"
"Dois-je tout vous décrire, ou vous trouver un marchepied?" , répliqua Legolas, entraînant le rire de Gimli.

La pression montait à présent chez les défenseurs, l' ennemi martellant le sol de ses piques. Les elfes et hommes sortirent leurs arcs, se préparant à faire feu. Le premier à tirer fut un viel homme, qui tua son uruk. S' en suivit une charge de toutes les armées d' Isengard, sous une pluie de flèches.
Dans la cour, du fort, Théoden, Eomer et Arzaabald était réunis, Théoden parla le premier:
"La bataille commence" , dit alors le roi du Rohan.

[Comme vous l' avez vu, la bataille se déroulera en suivant le film. N' hésitez donc pas à décrire vos actions et celles de vos troupes comme dans le film (Arzaabald peut prendre le rôle d' Aragorn, mais il reste Arzaabald). Vous pouvez ainsi "revenir en arrière dans la bataille", comme je l' ai fait [ utilisez pour cela des phrases du genre:"pendant ce temps", "tandis que XXX, Y sauta des murailles...",ect]
quand ce sera votre tour de poster pour ajouter un moment du film que vous aimez bien de manière a ne rien rater. Voilà, bonne bataille.]


Au joueurs du bien de poster, puis dans l' ordre que vous voulez (si vous avez envie de poster, vous pouvez que vous soyez du bien ou du mal, mais ne monopolisez pas pour autant la parole!)
[de toutes façons, vous pouvez revenir en arrière, donc l' ordre des post importe peu].

PS à l' intention de Lurtz et Sharku: n' oubliez pas que Saroumane vous a confié toute son armée et ses machines, vous avez donc en tout une armée de plus de 10000 uruks plus une pleiades d' orques et des machines de siège du film, de quoi faire une belle bataille.

Alors que Théoden apprêtait la défense de la porte et des murailles, Haldir avait encochée une flèche, tandis que les Gardes de la Dame autour de lui armaient leurs arcs dans le même mouvement à son commandement. Deux doigts sur l'empennage blanc de sa flèche, le pouce en appui de l'autre côté du trait. Puis il resta impassible, alors que la horde des Uruks-Haï chargeait vers les murailles du Gouffre de Helm, ajustant sa visée sur un ennemi en particulier : un capitaine Uruk, lieutenant de Lurtz, qui menait l'assaut sur sa section de murs. Criant un second ordre en elfique, le lieutenant de Celeborn décocha son trait, qui alla se ficher dans la gorge du capitaine Uruk-Haï, le projetant au sol, grièvement blessé. Tout autour de lui, les elfes de la Lothlorien décochèrent leurs flèches sur les ennemis en approche, abattant les premiers rangs en quelques volées.
Mais les Uruks-Haï arrivaient toujours, tels une marée inexorable et sans fin...


Les habiles archers de la Lorien continuèrent alors de déverser une pluie de flèches sur la horde de Saroumane, tentant de contenir ce flot inexorable : les elfes d'Haldir avaient juré de protéger le Gouffre de Helm, et ils le feraient, ou du moins, tenteraient de le faire, mais ne reculeraient pas...

Les Uruk-haï marchaient en rang serré alors que la pluie ne cessait de tomber accompagnée d'un orage qui s'annonçait chaotique. C'est alors que la masse grondante de ces monstres en contre-bas s'arrêta nette, on pouvait distinctement entendre leurs grognements infâmes. Arzaabald qui était sur les remparts [je suis Arzaabald] ordonna de les mettre en joug, tous les archers, humains comme elfes étaient prêts à faire couler le sang orque.

Soudain une flèche fut décochée sans plus attendre et tua sur le coup l'un des assaillants qui s'effondra alors au sol. Ses compagnons furent d'abord surpris puis les grognements se firent plus intense encore et l'assaut fut donné par un capitaine juché sur un rocher.

Les piquiers s'élancèrent jusqu'au mur du Gouffre, tous les archers elfes y compris Legolas étaient prêts à faire feu. Le prince de Mirkwood parla pour lui-même à voix haute :

- Leur armure a une faille...au cou et sous les bras...

- Feu à volontééééé ! cria Arzaabald.

Les flèches volèrent alors et nombreux furent les Uruks qui tombèrent, les échelles approchaient du Mur et il fallait les retarder le plus possible. La bataille avait commencé.

Gimli était resté sur les murailles aux cotés de Legolas attendant impatiament le moment de combattre. En dessous, des cris et des bruits de pas puissants traduisaient l'arrivée de l'armée de l'Isengard. Bien qu'il ne pouvait rien voir, il reconnut qu'elle était puissante et nombreuse. Soudain, à l'ordre d'Arzaabald tous les elfes brandirent leur arc en direction du champs de batailles et attendaient un nouvel ordre.
Dans l'agitation qui régnait en lui, le prince d'Erebor ne perçut pas les paroles de Legolas qui semblaient-être de l'elfique et ne chercha pas à en trouver le sens car il essayait plus à observer ce qui se déroulait en bas mais sans résultats concluants. A cet instant même, tous les archets ainsi que Legolas décochèrent leur flèches mais Gimli restait dans l'ignorance totale et se tourna, énervé, vers l'elfe :

-Ils ont touché quelques choses ? s'exclama-t-il.

Mais il ne reçut pas de réponses et essaya de voir de nouveau en bas tandis que de nouvelles volées décoraient le ciel noir et ténébreux. Après quelque secondes, Gimli compris que les uruk-hai avancaient vers le Gouffre et que le corp à corp allait commencer. Il était de plus en plus éxcalté et exprima son enthousiasme :

- Amenez les moi ! Allez !

"FEU!!!" cria Eomer, TIRER A VOLONTER!!!

Les archers du bastion commencèrent à tirer, alors que les javeliniers qui étaient sur les murailles projetaient leurs javelots.

Puis il avança vers Théoden et lui dit:

"J'attends votre signal pour tendre le piège, mon roi."


Il ordonna ensuite à des guerriers de consolidé la porte et de se tenir prêt derrière celle-ci en cas de brèche....


(Noter que le terrain est humide, donc glisser et boueux)

[Tout se passera comme dans le film, ou presque pour ce qui est d'Haldir et de Lurtz]

Les Uruks-Haï s'élançaient vers les murailles du Gouffre sous la pluie envoyée par Saroumane depuis Orthanc... Au beau milieu de ses troupes, Lurtz ordonna que les béliers aillent défoncer la porte de la forteresse, protégés par une formation de Guerriers Uruks, leurs boucliers en "tortue" afin de se protéger des traist ennemis...

De l'autre côté du champ de bataille, au pied des murailles, les échelles de siège furent levées, et des Berserkers commencèrent à les gravir afin de dégager un passage pour les guerriers Uruks-Haî qui venaient ensuite...

Enfin, Lurtz grogna un ordre, et des arbalétriers commencèrent à tirer leurs carreaux en réponse aux tirs des elfes...

Lurtz grogna sourdement : les défenseurs tenaient bon, et leur moral était toujours trop haut pour que la forteresse tombe vite. Alors, hurlant à ses Uruks de s'élancer contre les assaillants avec plus de férocité. Puis, d'un geste aux Berserkers derrière lui, le commandant de l'armée de l'Isengard ordonna que la bombe offerte par Saroumane soit amenée aux murs, près du soupirail qui se trouvait être la seule véritable faille dans la muraille. Au cris des soldats de son armée, un berserker armé d'une torche s'élança, suivi de deux de ses congénères...


Puis, désignant une baliste, Lurtz fit apprêter une échelle, et monta à son sommet. Lorsque la machine de guerre fut activée, le chef Uruk-Haï s'accrocha aux montants de bois et de fer, pendant que l'échelle était propulsée contre les murs du Gouffre de Helm. Hurlant de rage, Lurtz entama son oeuvre de destruction en abattant son épée sur le rohirrim le plus proche, en projetant un autre par-dessus les murs d'un magistral coup de son bouclier...

Haldir se trouvait au mur, lorsqu'il aperçut les berserkers de Lurtz s'élancer sur les échelles. Après quelques passes d'armes, le capitaine de la Lorien abattit un de ces monstres frénétiques, puis en éventra vivement un autre de sa lame elfique. C'est alors, alors qu'il se redressait, le souffle court, l'épé à la main, qu'il vit les autres berserkers armés de torches suivre leur congénère vers le mur...


Soupçonnant une ruse de la part de Saroumane, Haldir suivit des yeux leur trajectoire qui semblait devoir finir au mur du Gouffre, près du soupirail, un peu plus à sa droite. Son arc et une flèche glissèrent dans sa main alors qu'il rengainait son épée. Puis, ajustant avec précision le premier berserker, armé d'une torche, Haldir décocha sa lèche qui devait finir dans la partie gauche de la poitrine de l'Uruk et s'y enfoncer profondément, lui perçant le coeur...

Haldir regarda rapidement autour de lui, et un profond sentiment de tristesse s'empara de lui : ses compagnons elfes avaient tous été projetés à terre, et beaucoup d'entre eux quittaient maintenant les Terres du Milieu par le chemin que les elfes redoutaient le plus. Sa main chercha un instant dans la boue avant de se refermer sur la poignée de son épée, qu'il souleva immédiatement tout en se relevant, en position de garde alors que les Uruks-Haï chargeaient...


Mais les elfes se devaient de défendre jusqu'au bout le Gouffre de Helm, aussi le capitaine de la Lorien leva le bras gauche, et l'abattit devant lui, en criant un ordre en elfique. Dans un léger bruissement, une centaine de flèches elfiques volèrent et allèrent se planter dans les corps des nombreux Uruks-Haï qui pataugeaient maintenant dans l'eau, là ou se dressaient il y avait encore quelques instants les plus fières murailles du Rohan...


Haldir se jeta alors en avant, portant le combat aux guerriers de Saroumane, lorsqu'il aperçut le général adverse, Lurtz, qui le chargeait en hurlant sa rage et sa soif de combat. Campant fermement ses pieds dans le sol, l'elfe attendit fermement la charge de l'Uruk assoiffé de sang, l'épée haute...

Eh, oh les gens, faudrait penser à répondre u peu, non ?

Legolas n'avait pas su éliminer le berserker qui s'était suicidé pour faire exploser le mur du gouffre. En lui l'elfe s'en voulait un peu, les hordes ennemies allaient fondre sur les défenseurs. Aragorn et Gimli tentaient de tenir bon et les Galadhrims vinrent les aider en chargeant les rangs Uruk-Haï au niveau des murs.

Le maître archer se débarassa de deux ennemis puis se saisit d'un bouclier adverse et commença à descendre les escaliers du mur tout en tirant et en tuant de nombreux uruk-haï. Pour finir, le bouclier vint s'enfoncer dans la poitrine d'une de ces créatures.

La bataille faisait rage et bientôt, les survivants dans la partie basse du Gouffre durent se replier dans le baston...

Eomer regarda une dernière fois en arrière, voyant l'étendart royal du Rohan, sachant que peut-être, il ne le revêrait plus jamais.
Puis, il déguena son épée et la leva l'air en criant:

"A MORT! POUR NOTRE SEIGNEUR ET POUR NOTRE TERRE!"


Il donna un coup de talon à son cheval, lui donnant l'ordre de galopé et pointa son épée vers le premier ourouk venu...

C'est à ce moment que l'aube se leva, illuminant le champ de bataille des premières lueurs du jour... Alors que tous, humains, elfes, et Uruks, se tournaient vers l'est, Théoden se souvint alors des paroles que Gandalf lui avait adressées naguère lors de son passage éclair à Edoras :

"A l'aube, regardez à l'Est..."

Du passage menant au Gouffre vinrent soudainement des clameurs rohirrims, et gondoriennes. Un cavalier en vêtements blancs apparut sur la colline, l'aube formant comme une aura de lumière autour de lui.

Gandalf observa le champ de bataille, et, l'air attristé, se rendit compte qu'il arrivait juste à temps, lui et les cavaliers de Boromir. Alors que ceux-là apparaissaient derrière lui, Mithrandir leva son bâton vers le ciel, et, avec une brève prière à Estë la Douce pour qu'elle calme les souffrances de chaque humain blessé sur le champ de bataille, et une autre pensée pour son maître Lorien, Irmo, Seigneur des Rêves, afin que des pensées des mourants naisse de l'espoir au seuil de leur destin, le Magicien Blanc talonna imperceptiblement Gripoil, son illustre montue, et celui-ci s'élança en avant, vers les lignes des piquiers Uruks... Gandalf savait que ces armes feraient des ravages dans les rangs des cavaliers humains s'il n'intervenait pas...

Aussi, lorsqu'il fut presque sur les créatures de Saroumane, suivi des hommes de Boromir, Olorin eût une pensée pour le seigneur des Vlars, Eru Iluvatar, et c'est ce nom de puissance au lèvres qu'il propulsa son pouvoir dans son bâton levé : une lumière éclatante, aveuglante, immaculée se forma alors autour du manche, se modelant en un rayon, que Gandalf propulsa dans les yeux des Uruks face à lui. Ceux-ci, ne pouvant supporter la splendeur de la Blanche Lumière de Valinor, baissèrent ou fermèrent les yeux, et, déstabilisés, cessèrent de pointer leurs ares vers les cavaliers en charge, et détournèrent leurs piques en tentant vainement de se protéger de cette lumière qui les agressait. Enfin, alors qu'aucun des projectiles de la Main Blanche ne touchait ne serait-ce qu'un cavalier de Gondor ou de Rohan, la charge des cavaliers, menés par Gandalf, percutèrent les rangs Uruks-Haï avec une violence inouïe...