L'assaut d'Adrix...

Les hommes avancaient.... En rang serré, c'était des milliers et des milliers d'hommes qui se profilait a l'horizon. Au centre ce trouvé les troupes d'Adrix, roi du Harad. Il avait avec lui, en seconde ligne, 18 mumaks du Harad, monté tous de 50 archers, pour un total de 900 archers près a tiré sur les ennemis en contrebas. La première ligne était consititué de 20 bataillons d'orcs. Chacun de ses groupes compté 100 orcs, 1 capitaine, un tambours et un fouetard. Les orcs se placaient sur un front de 20 guerriers, et sur 5 lignes. La première ligne compté le capitaine, la seconde le tambours et la dernière le fouetard. Ainsi, 2 000 orcs, sur un front de 400 soldats au total, avancé vers l'ennemi. Comme il a été dit précédament, 18 mumaks du Harad, en ligne, écarté chacun de 20 mètres, avancaient vers les remparts de Tset Habaor. Ensuite venait la seconde partie de l'armée d'Adrix :
Sur un front de 400 hommes aussi, eux aussi placé en bataillon de 100 soldats et mené par un capitaine, venait 2 000 lanciers du Harad. Chaque bataillon porté une bannière différentes. Cepenant, la ou les orcs étaient les premiers soldats, la "chair a canon", les guerriers du Harad ne l'étaient pas. Ainsi, chaque bataillon était apuyé par 20 archers, constituant une sixième ligne. En réalité, les archers avaient avancé en deuxième ligne, pour pouvoirs faire feux le plus tôt possible. Cela occupé 400 des 1 100 archers restant a Adrix. Les 700 autres étaient répartie en deux groupes :
400 étaient a l'arrière, avaient préparé des flèches emflamé et s'apprétaient a tiré sur les remparts de bois de Tset-Habaor, et 300 autres étaient en soutient sur les plus puissantes uniotèes de l'armée :
en effet, en troisième ligne se trouvaient trois bataillons de 100 gardes serpents et d'autant d'archers. Sur un front de 40 soldats, sur 5 lignes, les trois bataillons avancaient cote a cote, chacun commendé par deux hasasims pour les deux bataillons situé au extrémités. Celui du centre étaient commendé par Adrix, et un autre Hasarims. Le second de Adrix était quand a lui dispercé dans l'armée, près a frappé au moindre instant les capitaines ennemis... .

Il restait encore, en réserve, 500 pilliards Haradrims, et les armées de Gollum et de Lhunara. Noldoroth, quand a lui, était au coté de Adrix....
Ce dernier, juché sur son cheval, cria avec force dans un porte vois en fer, qui multipliait la puissance de sa voix par 100....

"Homme du Harad ! Le temps est venu ! Il est temps pour nous de montré notre puissance ! Cependant, je veut évité les morts. Un émissaire va ètre envoyé au seigneur de Rhûn...."

Portant un drapeau blanc, 5 pilliards Haradrims se mirent a chevauché vers les remparts.... L'un d'eux cria :
"Ouvrait les portes ! Je suis Kra, second de Adrix, roi du Harad, et je suis ici pour négocier...."

Brodda monta sur les remparts de Tset-Habaor, une forteresse qui jamais n'était tombée aux mains de l'ennemi, et il était de son devoir de s'assurer que jamais ce ne soit le cas. Il se tourna vers la plaine en face de sa forteresse, et regarda les troupes pléthoriques du Harad, composée de milliers de guerriers, d'une quinzaine de gigantesques Mumakils et de centaines de troupes d'élite, dirigée par Adrix, le roi du Harad, Lhunara, elfe maréchale de Harad et native de ce même royaume, ainsi que de Gollum, un mercenaire recruté et payé par Adrix. La colère monta en Brodda, furieux d'avoir été trahi par son allié...

Il observa ensuite la muraille de bois qu'il avait fait construire auparavant, quelques dizaines de mètres devant les murs de pierre de sa forteresse. Mais Brodda ne doutait pas du fait qu'elle ralentirait grandement l'avancée de l'ennemi. Puis, le roi de Rhûn se retourna vers ses troupes, le coeur lourd : il lui fallait faire un discours. Il s'adressa donc à ses soldats :

"Guerriers ! L'ennemi se presse devant nos murs ! Les haradrims nous ont trahis ! Ils en veulent à nos terres, et ils est de notre devoir de les repousser ! Jamais Tset-Habaor n'set tombée et jamais elle ne tombera ! Saisissez-vous de vos armes et semer la mort parmi les rangs ennemis ! Tset-Habaor ne tombera pas !"

Puis, sous les acclamations de ses troupes, il leur exposa sa stratégie : les archers se tiendraient sur les remparts, et, avec leurs flèches enflammées, ouvriraient le feu sur les ennemis. Les prêtres de Rhûn et les fantssins orientaux attendraient derrière la porte, et la cavalerie serait prête à faire une sortie. Après avoir donné l'orde à ses archers dès les mumaks à portée, Brodda se retourna, et, plein d'appréhension, regarda l'armée d'Adrix.

Un messager sortit des rangs haradrims et s'avança vers la forteresse. Brodda fit ouvrir les portes lorsque le haradrim le demanda, puis, accompagné par 10 Guerriers Orientaux, alla se placer à mi-chemin entre les rempats de pierre de Tset-Habaor et la muraille de bois qui l'entourait, et il écouta ce que le messager avait à lui dire...

Adrix sourit... Brodda était donc fout ? Utilisé des flèches emflammé ne servirait a rien. En effet, le feu ne causerait pas plus de dommage au hommes que des flèches normals. Par contre, le feu dévirait les flèches...

***

"Bonjour, seigneur Brodda. Voila ce que vous propose mon maître :
rendez vous. Vos vies et celles de vos soldats seront épargné. Adrix prendra le commendement de votre royaume, et de vos troupes. Vous serez nommé champion des deux royaumes, et vous aurait une place puissante. Cependant, une autre personne que vous sera nommé a la tête de Rhûn. De plus, si vous résister, nous détruirons une a une vos villes... Celont si elles se rendent ou pas, vos enfants seront tué, vos femmes violés ou réduitent en esclavage...."

Les yeux de Brodda se rétrécirent jusqu'à ne former plus que deux fentes visibles par la visière de son casque lorsqu'il répondit :

"Non. Je ne laisserais pas ma place à un tyran qui martyriserait mon peuple. Tout ce que vous me promettez n'est qu'un tissu de mensonges !"

Puis Brodda se tourna vers l'armée du Harad et, pointant un index accusateur sur Adrix, il lui cria :

"Tu mens ! Tu mens comme tu respires !"

Puis il fit demi-tour et, avec sa garde, pénétra à nouveau dans Tset-Habaor. Quand il y fut entré, il fixa du regard chacun de ses soldats : il n'était pas sûr d'avoir fait le bon choix. Mais, lorsqu'il vit briller dans chaque regard une étincelle de détermination, il fut persuadé d'avoir fait le bon choix. Il ordonna alors à ses archers d'étindrent leurs flèches, de tirer sur la cavalerie ennemie quand elle serait à portée et de se positionner sur les remparts de telle sorte qu'ils puissent tous ouvrir le feu en même temps. Il dit également à ses Guerriers Orientaux de se tenir à une vingtaine de mètres de la porte. Les Chefs de Cultes lancèrent Ombre sur les Archers Orientaux et, avec les Moines de Rhûn et les Dévots, se tenaient fièrement dans la cour, derrière les murs de la forteresse. Quand à Brodda, il se positionna parmi les Guerriers Orientaux. Les défenseurs n'attendaient plus que l'assaut ennemi qui déciderait du sort de Tset-Habaor...

*Tant pis....* fut la seul pensé de Adrix. Ce qu'il allait devoir faire n'était pas plaisant, mais il le ferait.... Il allé envoyé ses troupes de tous cotés... Chacunes des villes de Rhûn verait ses enfants et ses femmes faient esclaves, ses hommes tué ou fait aussi esclave. Le temps de la guerre était venu....

Adrix cria. Son crie fut si fort qu'il arriva au oreille de Brodda :
"Seigneur de Rhûn, je te laisse une dernière chance. Sinon, ce sera ton peuple qui payera. En effet, touts tes hommes sont ici. Les autres villes sont vides de guerriers. Quels dommages que tu ne te rende pas. Voila ma dernière proposition :
rend toi ou j'enverais une petite partie de mes forces attaqués tes autres cités. Chacune de ses cités aurait le choix :
me suivre ou te suivre. Si ils me suivent, je prendrais l'or de leurs caisses pour renforcé mes armées. Si ils ne me rejoignent pas, je ferais emmené les enfants et les femmes. Chacun d'entre eux sera fait esclave. Les hommes, quand a eux, auront un sort un peu différent :
la moitié sera fait esclave, l'autre sera mutilité. Leurs mains seront coupé, et leurs yeux crevé. Je te le demande une dernière fois :
rend toi. Dans ce cas, nous travaillerons main dans la main a faire des hommes de Rhûn et du Harad les plus puissants des hommes.... Que choisi tu ? La mort de tes sujets ou la puissance ?"

Lorsqu'Adrix s'adressa à lui, Brodda, sur la muraille de pierre de Tset-Habaor, il lui répondit :

"Ton assaut a échoué. Mes alliés arriveront bientôt, et cela signera la fin du siège de Tset-Habaor. Tes soldats seront tués et toi de même. Il n'y a pour toi qu'une seule échappatoire :

Cesse cette folie ! Allions-nous, et la puissance des armées combinées de Rhûn et du Harad sèmeront mort et désolation dans les royaumes des Gens Libres !"

Puis Brodda se tut et attendit la réponse du roi du Harad...

"Dommage mon ami.... Si tu souhaite changé d'avis, fait le savoir... "

Adrix s'adressa ensuite au pilliards :
"Hommes ! Prenez 4 mumaks et 200 archers avec vous, et partez vers les autres villes de Rhûn. Laissez leurs le choix :
me donner leurs ors et se joindre a nous, ou ètre réduit en esclavage. Et faite venir le chef des 500 villageois qui nous accompagne pour s'occuper de l'intendance. J'ai en effet besoin d'ouvrier pour faire quelques travaux...."

Dans un bruits de trompes et de hennisement, la troupe armée partie. Ils allaient mettre Rhûn a feu et a sang. Sauf si bien sur, Brodda ou les gouvermeurs des différentes villes se soumettait....

***
Devant Adrix se trouvait les 500 villageois. Chacun d'entre eux avaient des pelles ou des pioches. Le chef vint a Adrix :
-Que devont nous faire ?
-Le travail sera simple : creusé plusieurs fossés. J'en veut deux a l'arrière de nos lignes. Creusé les de 4 mètres de larges et de 2 de profondeurs. Ils devront couvrir toute l'étendu derrière nous, de manière a ce que l'on ne puisse ètre prit a revers facilement. Je veut un seul accès :
20 mètres de longs, vous n'y creuserais pas. A oui... Remplissez le premier fossé de petits bois et d'huiles. Et le second de pieux....
-Bien mon roi. Le travail sera fait....

***
Cela faisait une heure que ses hommes étaient partie. Les deux fossés avaient été creusé. Adrix se tourna vers la citadelle :
"C'est ta dernière chance. Tu peut encore changé d'avis...."

"Non. Persécutes mon peuple si tel est ton désir, mais saches que tu ne t'en tireras pas comme ça. Je te traquerais et te tuerais, comme on le fait pour une bête sauvage !"

Puis il murmura pour lui-même :

"Tu ne mérite pas ton titre de roi...Je jure au nom de tous les innocents qui périront à cause de la folie de cet homme, que je le tuerais. Oui, Adrix, après ce siège, tu mourra de ma main ou de celle d'un autre, et ton corps privé de vie girat sans vie sur cette plaine."

C'était le petit matin et le haut-commandant de la porte noir venait de franchir les lieux qui séparait la porte noir de Rhûn. Il était acompagné de 2800 orques dont les pas lourds n'allaient pas tarder à avertir l'ennemi de sa présence, cependant, la Bouche de Sauron était venu de l'ouest du Rhûn, et par conséquent, faisait face ( bien que trés loin des troupes énnemis ) aux soldats du Harad. N'observant aucun combat, il en déduit que quelques négociations devaient avoir lieux. Cela lui donnait à réfléchir, jusqu'aujourd'hui il pensait qu' Adrix était un des serviteurs du seigneur noir. Ils ne lançaient pas les hostilités, la Bouche de Sauron et son armée attendèrent quelques temps donc, le moindre signe d'un combat.

Le cavalier partie a vive allure vers les forces orcs en présence..... Il fut conduit a la bouche de Sauron, et lui dit :
"Je suis le messager du seigneur Adrix de Harad, serviteur du Grand Oeil. Que fait vous ici ? Si vous venez nous aidé de se siège, rester donc. Sinon, je ne pense pas que vous devriez vous opossez a nous. Pour commencé car nos troupes sont puissants, et qui plus est car Brodda est un ennemi de Sauron :
il s'est allié a la troisième alliance, et mérite la mort pour sa....
Choisisez votre camp !"

Le messager regarda le puissant seigneur, en attendant sa réponse

***
De l'autre coté de la plaine, Adrix avait réuni ses généraux, tant orcs que humains...
-Messieurs, le plan est simple :
nous allons lancé un assaut continu sur les forces ennemis. Nous avons des milliers de soldats. Nous allons commencé par brulé cette muraille de bois, puis nous lacherons volé sur volé sur les troupes ennemis. Nous possédons 2 000 archers et des dizaines de milliers de flèches. Pourquoi prendre des risques ?
-Il est en effet inutile d'en prendre. Tout sera fait celont vos ordres....
-A oui... Que les lanciers et 5 mumaks, donc 250 des 2 000 archers, se tiennent^près au combats. Il se peut que la Bouche de Sauron ne sois pas des notres...."

***

Adrix prit la parole :
-Archers ! Flèches enflammé ! Brulé moi ce mur !"

Et 1 750 flèches de feus partirent, suivit d'une autre, puis d'une autre, et encore d'une dizaines d'autres volés. Dans un bruit mat, les flèches se fichaient dans la muraille et parfois dans les corps des hommes la défendant....

la Bouche de Sauron parvint au dessus des premières lignes de ses troupes, accompagné du messager. Ils étaient maintenant prés d'un grand rocher où ils se tenaient a l'écard.

"Que dit-tu? Brodda appartenant à la troisième alliance? Je n'en savais rien... "
[??? dans son profil il y a marqué allié a sauron et a moi ! aucune trace de 3eme alliance]

Puis, reprenant son souffle il ajouta:

" Tes dires sont ils justifiés ou bien est-ce un tissu de mensonges afin de me pousser à la capitulation? Et, tant bien même il appartiendrait à la troisième alliance, il m'a décreté être solennelement du camp de notre maître Sauron"

C'est dans un regarde grave que la Bouche de Sauron attendait une réponse complète du cavalier messager.

Un bruit de troupes se fit alors entendre. Tous détournèrent le regard des murs de Tset-Habaor. Ils virent alors l'armée personnelle de Sauron, le Seigneur Ténébreux : 3400 orques, ainsi que deux milliers de fanatiques exaltés. A leur tête se tenait une silhouete à cheval. Les orques et les flagellants arrivèrent alors à la hauteur des autres armées et se positionnèrent de manière défensive.

Le cavalier quitta les rangs. A son cou pendait un cor noir et il portait un énorme marteau dans sa main droite, qu'il appuyait sur son épaule. L'homme sortit alors le cor et souffla dedans. Puis, ouvrant la bouche, il en sortit un hurlement terrible : c'était du Noir Parler et tout un discours en cette langue suivit. Puis, l'homme le reprit, mais en langue Commune cette fois-ci :

"Je me nommes Dorsa ! Je suis Son prophète ! Il vous est alors demandé de quitter ce siège à vos trois armées afin de Lui montrer votre dévotion ! Que dîtes-vous ?"

[Petite info : je ne suis plus allié à Saroumane depuis qu'il s'est détaché de Sauron, et je n'ai jamais fait partie de la 3ème alliance !]

Brodda regarda sa muraille de bois brûler, puis dit à Dorsa, le grand prophète du Seigneur des Anneaux :

"Je suis d'accord ! Nous ne devons pas nous battre entre nous, cela ne fait que diminuer la puissance du Seigneur de la Terre Noire ! D'autant plus que ce siège est injustifié !"

Dorsa esquissa alors un sourire. Brodda avait accepté. Il pourrait donc ensuie s'installer ici et même devenir conseiller du Roi de Rhûn. Puis, il parla aux deux autres :

"Seigneur Adrix, ne mettez pas ainsi en péril votre pays. Le Conseil d'Umbar perdrait alors tous ses liens envers notre Maître. Et vous, Numénoréen Noir, on vous nomme la Bouche de Sauron, pourquoi n'éxécutez-vous donc pas ses ordres ?"

La Bouche de Sauron tourna les talons au messager fit quelques pas vers lui et ses troupes et cria de manière a ce qu'il puisse entendre:

"Ce sont de sages paroles que vous nous faites parvenir... Votre maitrise du noir parler me prouve en effet l'authenticité de vos dires quant à la véracité du rang de prophète. Cela dit, ce n'est pas à nous, défenseur qu'il faut s'adresser."

Il marqua un temps de repos de quelques secondes puis observant que Dorsa s'impatientait il continua:

"C'est à Adrix. Meneur du Harad. En réponse à votre question, oui, je suis totalement d'accord de retirer mon armée afin de prouver mon allégeance au seigneur noir."

Alors que Dorsa parlait dans la langue de Mordor, une Ombre s'étala sur le champ de bataille, recouvrant toutes les armées présentes. Alors que le Noir parler se faisait entendre de la bouche de Dorsa, une grande lueur orangée l'entoura, en même temps qu'une vague de Peur, de terreur pure, entouraient tous les interlocuteurs et les soldats. Dans un grondement de tonnerre, le Grand OEil de Barad-Dûr parla, sa voix résonnant dans chaque tête, insoutenable, sauf pour Dorsa et la Bouche de Sauron :

"Agissez... Ecoutez Dorsa, il parle en mon nom : c'est ma parole que vous entendez maitenant...

Fils du Sud et de l'Est, rassemblez-vous à présent ! Unissez-vous, servez le Mordor, et les Peuples Libres de la Terre du Milieu trembleront !"

[Dans ce cas, pourquoi il était sensé arrivé en renfort ? Et pourquoi vous vouliez m'attaqué tout deux ? Tes troupes sont sur quels murailles ? Et Dorsa, d'ou sorte tes troupes ? Tu a rien dans ton profil !]

"Je ne sais pas.... En attendant, je vous conseil de vous retiré d'ici....", répondit l'homme a la Bouche de Sauron, alors que Son Prophète arriva. Adrix resta silencieux....

Sans plus préter attention au troupes orques, l'homme s'en fut. Au même moment, les armées Adrix se mirent en marche vers le seul accès entre l'armée d'Adix et des deux seigneurs meneurs d'orcques.. En effet, ses ouvriers avaient creusé deux larges tranchés :
toute deux profondes de 2 mètres, elles étaient larges de 4. La première était remplie de petits bois, de bois plus gros et imbibé d'huiles, l'autre de pieux de 140 cm, large comme des cuisses a leurs basses et fins comme des éguilles a leurs fins.

Ses deux fossés s'étendaient a travers la plaine. Tout deux parallèles, il faut formé deux lignes séparant les deux armées. Le seul accès étaient un trou au millieu des fossés :
ses deux derniers se coupaient monentanément sur 40 mètres. Large de 10 mètres, seulement 35 soldats pouvaient y passé de front, et ceux sur 10 lignes. Sur ordres d'Adrix, des troupes se mirent en marche.... 350 hommes vinrent comblé le trou :
sur 10 lignes, les deux premières étaient comme suis :
la première comptait 32 orcs, puis 3 capitaines. La seconde comptait 32 orcs, mais la 2 fouetars et un seul capitaine. Ensuite venait une ligne de gardes serpents mené par un Hasarims et un capitaine, puis une d'orcs (comme la deuxième), puis une autre de gardes serpents.... jusqu'a 10 lignes. Ses hommes étaient tous près a mourir. Mais surtout a tué....

Adrix parla. Sa voix était forte, et emplie de charisme....

"J'ai une question, puissant Prophète et vous, grand seigneur de la porte noire. Qui, en étant aidé de Sarouman le multicolors, appelé le traitre, devait m'attaqué ? Qui projetait de rompre notre alliance ? Qui projetait de trahir le Grand Oeil ? C'est lui, Brodda, le seigneur de Rhûn, qui souhaité cela.... Qui, ensuite, est venu en renfort, près a tué alors que cela ne le consernait pas ? C'est la Bouche.

Qui devrait donc réclamé réparation et faire la guerre a tous ? C'est moi, Adrix du Harad, porteur du bouclier de Karna, qui devrait faire la guerre... Mais je ne la ferais point.... Du moins pas a vous, Dorsa, car vous ètes Sa parole.

Voila ce que je propose.... Je veut un duel. Sans armure. Avec seulement une épée classique [25 att, 3 res]. Moi contre Brodda. A cheval. Un cheval sans armure, avec juste une selle et un mord. Le gagant vie. L'autre meurt. Le gagnant gagne le royaume de l'autre, ses armées et ses possétions.... Cela vous va ? Sinon, se sera la guerre...."

Adrix a écrit:: [Dans ce cas, pourquoi il était sensé arrivé en renfort ? Et pourquoi vous vouliez m'attaqué tout deux ? Tes troupes sont sur quels murailles ? Et Dorsa, d'ou sorte tes troupes ? Tu a rien dans ton profil !]

[J'étais sensé arriver plus tard, pas au tout début du siège, comme pour de srenforts en quelque sorte. Ensuite, dans le Rp à Barad-dûr, Sauron me lègue ses troupes pour le combat : 3400 orques et les 2000 flagellants, ils remplacent mes villageois mais ce ne sont pas des combattants, je les trimballe derrirèe moi comme dans mon Rp à Barad-dûr.]

Dorsa écouta Adrix et lui répondit :

"Saroumane le Traître n'est point arrivé et c'est toi Adrix qui a apporté la guerre ici, pas Brodda l'Oriental. Je refuse que c ecombat ait lieu. Si jamais toi, Roi du Harad, meurt, nous perdrons un grand combattant, si jamais Brodda meurt, nous perdrons celui qui n'a pas agit à l'encontre de notre Maître."

"J'ai parlé. La guerre est dans la nature de mon peuple, comme la mort est dans leurs natures. Depuis trop longtemps mon peuple est réduit a vivre dans ses terres inospitalières. Nous y sommes accoutumé, mais aujourd'hui est venu l'heure du Harad, l'heure de la gloire et de la richesse. Il y a eu affrond :
il doit y avoir réparation. A moins que Brodda accèpte de me versé de l'or pour payer les frais de mon voyage et mes hommes... Voyont disons 10 000 pièces d'ors.... Ou accèpte de me donné son royaume, je demande réparation.... Par le sang et la mort ou par l'or et la terre...."

"Rhûn est au service de Mordor ! Rhûn est au service du Maître ! Je suis Son prophète ! Il n'y a pas lieu d'être d'avoir réparation quand on ammène la guerre en un lieu ! Adrix, je vous demande de retirer vos troupes de Rhûn et de vous concentrer contre nos réels ennemis : les adorateurs des Valar !"

-Rhûn est au service du Mordor ? Tout comme moi... Cependant, qui reste le favorie du Mordor ? Rhûn ! Qui possède peut d'armée, qui est inutile ? Rhûn ! Cela en sois même vaudrait réparation. Cependant, ce lache a comploté contre moi, dans mon dos, pour prendre mes terres. Je réclame réparation.... Et si il le faut, le sang coulera.... Il y a ici suffisament de troupes pour vous vaincre... Certe, vous ètes plus nombreux, mais vos troupes sont faibles et ne peuvent attaqué que par un endroit. Les hommes qui s'y trouve sont l'élite de l'élite, et un de mes gardes serpents vos 3 de vos orcs.... Et pas plus de 35 de vos hommes peuvent avancé de front. Certe, si vous auriez eu des archers, le problème aurait été vite réglé. Mais vous n'en avait pas. Si le duel n'a pas lieux, ce sera la guerre. La cité de Rhûn est a ma merci, et vos troupes inexficace.... Que préféré vous ? Mené un combat que vous avez peu de chance de gagné, ou autorisé un duel légitime ? Ou encore me laissé faire mon siège ?

"Et toi, que préfères-tu Roi Haradrim ? Si ton siège a lieu, ta tête seras mise à prix et tu ne seras plus reconnu comme étant à la solde de notre Maître. Les Orientaux de Rhûn sont des fanatiques, et servent Sauron les yeux fermés tandis que les Haradrim le servent à cause de la rancune qu'ils ont contre le Gondor !"

[Ce dernier point est vrai. C'est Tolkien qui l'a écrit.]

-L'important n'est t'il pas le résultat et non la cause ? Qui, depuis des années, attaque sans arrèt le Gondor, réduisant ses armées et sa force de jour en jour ? Le Harad. Qui reste dans son royaume sans jamais lancé d'assaut ? Rhûn. Et que feriez vous de ma tête mise a prix ? Vous pourriez certe attaqué mon royaume, mais je suis sur que la troisième alliance ou les alliés des Valars serait heureux de venir m'aidé, et ce quoi en échange mes armées et mon allégance serait aquisse....

"Tu viens juste de te démasquer. Si tu es prêt à te rallier à la Troisième Alliance ou aux adorateurs des Valar, tu n'as aucune dévotion envers le Maître."

-Dévoué ? je ne le suis. Pas je suis loyal envers Sauron, mais en aucun cas je n'obéie aveuglement a ses ordes si cela va envers la loyauté que je porte a mon peuple... Puisqu'il semble impossible d'obtenir réparation, je vous laisse donc envoyé vos troupes a la mort contre les miennes.... Et qu'ils ne tentent pas de passé les fossés... Sa risquerait de brulé....

Pour ilustré ses paroles, Adrix banda son arc... Une flèche emflammé partie de ce dernier, se plentant au coeur du premier fossé... Qui s'embrassa sur toute sa longeur. Une deuxième alluma l'autre partie du fossé.... Au coeur de la plaine se trouvait aprésent un immense feu ardent....