Un nouveau combatant dans la cité.

J'avait marchée, marché, ce qui m'avait semblée des années dans les ténèbres de la nuit et du jour.

Mon hérault, Grabün, était blessé et ne pouvait pas encore descendre de cheval. J'alait chassé pendant que lui dormait, et il avancait en tenant les renes de mon cheval quand moi je dormais. Notre peuple calme, doux, et néanmoins fort, étais mort.

J'avais failli a ma tache. J'étais deshonorée. Une attaque des Gobelins de Gundabad et des Montagne nous avait pris par surprise.
Je me rappelle me transformée en Ours et envoyée Grabün réunir les troupes de villageois, les Beornides.
Je me rappelle aussi être allée cherchée moi-même mes frère ours pour allée au combat.
Et je me rappelle les wargs par milliers et les archée Orc sur les montagnes.
Ensuite Grabün et les Beornides sont arrivée, et les Ours et moi avons chargée les wargs.

Et puis il y a eu une volée de fleche des Orcs.

Et des milliers de flèche. J'ai vu tous mes amis tuée. J'ai vu Grabün, gravement blessé, tombée. J'ai été la cherchée, les mis sur mon épaule et suis parti. NOus avions perdu. Et je n'ai vu personne arrivée, malgrée les incendies et le bruit de la bataille, aucun des peuples que moi j'ai été aidées quand il étais dans le besoin.

Ensuite je me rappelle avoir marchée longtemps, très longtemps, et je me rappelle avoir vu les fumée des maison des femme et des enfant qui étais sous ma responsabilitée, mes sujets, brulée vifs dans leur propre maison!!!

Et puis il a fallu choisir une direction, nous avions fuit assée loin, nous n'étions plus en danger. Je me rappelle en avoir parlée avec Grabün:

Grabün: Par ou allons nous mon seigneur Grimbeorn?

Moi: Aucun des Hommes d'esgaroth n'est venu a notre secour, aucun des Elfes de la Lorien na songée a venir nous aidées, aucun des Elfes de la Foret noir n'a crut bon de sauvée les Beornides.
Même les Nain d'Erebor n'ont rien fait. Tous des traitres.

Grabün: Si nous renions toute nos ancienne alliance, par ou irons nous?
Tous les royaume que vous avez citée nous borde et serons forcément sur notre chemin.

Moi: Alors partons plus loin encore! Je ne rejoindrais pas des traitres!!!
Allons vers le sud, longeons l'Anduin et voyons ou cela nous menera!

Et puis je me rappelle avoir marchée longtemps, très longtemps, et être passée devant la Lorien, avoir apercu Dol guldur, avoir croisée des Rohirrim...

Et être arrivée ici, a Minas Tirith, la citée des Rois, connu jusque dans le nord et dont j'avais déjâ entendu parlée.

Je frappai donc au porte de la citée et attendais la réponse du gardien et tomba genoux d'épuisement, bien que conscient.

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

[Excellent RP mais attention à quelques fautes d'orthographe quand même Wink

]

Le crépuscule était déjà tombé sur la Cité Blanche quand deux gardes vinrent ouvrir les portes et aperçurent Grimbeorn allongé sur le sol, épuisé. Grabün, quant à lui, était encore debout mais la fatigue avait aussi envahi son visage émacié par ce voyage. Les deux soldats se dirent qu'ils devaient être innofensifs dans cette situation. Les vêtements assez barbares leurs firent penser aux hommes du Nord, ancêtres de leurs cousins Rohirrim. Peut être étaient-ils originaires du Rohan. Grabün s'effondra alors par terre, lui aussi, et les gardes recueillirent les deux hommes.

C'était l'heure de la relève. Deux nouveux soldats arrivaient alors que les autres s'en allaient avec sur le dos Grimbeorn et Grabün. Arrivant devant la caserne, le capitaine, qui ne dormait toujours pas, questionna les hommes qui arrivaient avec leur équipement et les deux réfugiés dans les bras. C'est alors qu'un des gardes répondit :

"On ne pouvait pas les laisser par terre devant la porte cap'tain. C'est pas humain. On pense les garder cette nuit à la caserne et demain, on verra bien ce que le jour apportera."

Une expression de compassion se lisait sur le visage du capitaine qui s'efforçait pourtant d'être le plus sévère possible. C'est alors qu'il acquiesça tout en disant :

"Je suis d'accord mais n'ébruitez pas ce qui s'est passé. Si mon supérieur apprenait cela, on y coupera tous, vous et moi !"

Quand Grimbeorn s'éveilla, il était sur un lit. Le soleil était déjà à son zénith et Grabün se tenait assit sur une autre couche, mais tout autant fatigué. Les deux gardes les regardaien et leur avaient ammené de quoi manger...

Alors je me relevai, et demanda au garde:

Soldat, va chercher ton supérieur, j'ai a lui parler.

Le garde parti chercher sont capitaine, et pendant se temps je discutai avec Grabün:

Il nous faut un seigneur, en ces temps de guerre et de mort. Il faut que nous voyions le Seigneur Denethor, et que nous nous mettions a sont services. Ainsi nous pourrons combattre le mal, nous pourrons nous battre contre les armées de Sauron en Ithilien.

Il ne nous laisserons pas voir le Seigneur Denethor comme cela. Il nous faut convaincre le Capitaine.

Fait silence, je l’entends qui arrivent. Nous verrons avec lui.

[à toi Manwë]

Grimbeorn fut surprit de voir entrer dans la pièce, nul autre que le seigneur Boromir lui-même. Il arrivait a la Caserne au moment ou le soldat s'en allait chercher le capitaine. Boromir, de sa haute stature balaya la salle du regard et s'arrêta a celui qui semblait être le chef des deux. Il ordonna a ses hommes de sortir de la pièce, il n'avait sur lui, que son poignard et sa cotte de mailles, et s'assit sur un banc, non-loin des deux lits. Il dévisagea ensuite Grimbeorn pour enfin entamer le dialogue.

- Vous devez avoir fait un long voyage. Avez-vous bien dormi ?

Il savait ce que leur hôte voulait mais puisque son père n'était pas disponible, et en tant qu'héritier de son royaume. Il sourit puis regarda le compagnon de Grimbeold. Qui semblait avoir beaucoup souffert lui aussi.

Si tout les Capitaine de se royaume sont aussi richement habillée et on d'aussi bonne lames, je suis en sécurité, pensais-je en le voyant arrivée.

Oui mon Seigneur, et cela grâce a votre bonté et a celle de vos soldat. J'aimerais voir le Seigneur de ce Royaume au plus vite, s'il vous plait, car mes informations sont importantes pour le nord, et il faut que des messagers préviennent les royaume nordique au plus vite.

Je gardais pour moi que j’étais d'une extrême gentillesse de sauvée ces traitres ignobles.

Et que nous voulons, moi et mon ami, prêter allégeances a votre Seigneur. Ne le prenez pas mal, mais vous n'êtes pas assez important pour savoir se que je sais.
Alors allez querir votre Seigneur et ne me faite pas attendre, ses d'une extrême importance, vous dis-je!

[quand tu veut Boromir! C'est a toi]

[MJ attendu pour remplacer Boromir s'il vous plait]

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

Boromir fut quelque surpris de l'expresse demande du nouveau-venu mais accéda à sa requête. Grimbeorn fut donc mené devant le trône de l'Intedant, Denethor II de Gondor.

[Postes dans la Tour d'Ecthelion et Denethor te répondra Wink

]

[désolé ><]

Boromir les fit sortir de la pièce pour qu'ils se dirigent vers le septième étage de la citadelle et de la tour d'Ecthelion. Il les pria de laisser leurs armes et suivit le groupe en silence en considérant l'étranger. Comment... moi, héritier du Gondor, fils ainé de l'intendant. Général des troupes du royaume. Leur ascension dura longtemps et elle fut silencieuse.

[attendez votre tour, le seigneur Denetor est déjà occupé Twisted Evil

]