Reprise de Cair Andros

Ayant apprit que cair andros eut été prise par les forces de sauron, Boromir partit en compagnie de tout ses soldats de minas Thirit, laissant ceux d'Itilien à Osgiliath .Après un long voyage, les soldats arrivèrent à Proximité de l'île et se préparèrent pour l'attaque de Cair Andros, maintenant aux mains de l'ennemi. Avant l'attaque, Haldor vint à la rencontre de Boromir.

- Mon seigneur! Quel position dois-je adopter pour cette bataille que nous livreront seuls

- Tu commandera les Cavaliers. Tu attaqueras quand l'ennemi sera déstabilisé. Tu portera le coup final. En premier, je ferait bombarder la ville avec mes catapultes. Veille à ce qu'il y ait 100 guerriers, lanciers et archers par catapulte. Ensuite commence a avertir l'armée que l'assault est imminent.

L'armée de Boromir était en place dans un campement à la lisière de la forêt. Chaque homme était maintenant prêt. Boromir se saisit d'un étendart du Gondor. Rapellant à ceux qui y étaient à la reprise d'Osgiliath. Cette image anima la joie dans les coeurs de chacun des hommes présents là.

- Hommes du Gondor. De la nation, de maintes fois attaqués par les forces de Sauron. Avons-nous faibli. Non! Avons nous disparu ? Non! Nous sommes encore là et nous nous batterons jusqu'au jour ou La blanche citée sera aux mains de l'ennemi. Est-elle aux mains de l'ennemi ? Non! Ces habitants y vivants, sont soit vos amis, votre famille, des conaissances ou des inconnus mais ce sont tous des hommes et femmes du Gondor et ils sont libre et votre devoir est de préserver cette libertée. Alors, si Cair Andros reste a eux, et bien, Osgiliath le sera et puis ce sera le tour de Minas Thirit. Alors, comme je l'ai dit, Minas thirit est encore a nous, alors nous combaterons et gagnerons cette bataille.

Il fit un signe a Haldor et il partit vers les catapultes. Ensuite, il plaça ses hommes en positions, les archers prêts a tirer et les lanciers, la lance pointée. Les archers attendant son commandement pour tirer et le reste de l'armée, pour foncer.Les hommes, virent passer au dessus de leur têtes, les pierres, grosses comme des chaumières se dirigeant vers Cair Andros.

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

[Les personnages du mal qui ne sont pas sur un autre RP peuvent s'inscrire pour tenter de garder Cirith Ungol aux mains de Sauron. Les joueurs du Bien pourront aussi partciper à la bataille Wink

]

Comme Boromir lui avait proposé de l'accompagner dans son prochain voyage et qu'il avait accepté, Jilano se trouvait donc parmi les soldats. Voyant que le chef partait vers le catapultes, l'Elfe le rejoignit et se plaça à ses côtés. De là, il observa la ville, points forts et ses points faibles, l'armée gondorienne... Il n'était pas un expert de la guerre, mais il voyait bien qu'un belle bataille s'annonçait.

"Quel sera mon rôle ? demanda Jilano à Boromir. Je ne suis pas un grand meneur comme vous, mais j'espère pouvoir vous aider du mieux que je pourrai."

- Tu est du genre archer, ou combattant de près. Car si tu est archer, tu pourrait rester avec eux et les commander, alors que Haldor s'occupe des cavaliers et moi des guerriers et lanciers

Il attendit la réponse de Jilano. Malgré le bruit assourdissant que faisait le choc des pierres sur le citée-île

"Je suis un archer, comme la plupart des Elfes, et je me ferais une joie et un honneur de commander les archers. La bataille a commencé, je pense que je vais rejoindre les soldats. Quelles sont vos ordres ?"

Du coin de l'oeil, Jilano voyait les soldats s'agiter et pouvait même apercevoir des mouvements entre les bâtiments de la cité assiégée.

Boromir sourit en regardant la ville.

- Tu tirera à volonté jusqu'à ce que l'ennemi engage le corps a corps avec nous. Tu tirera sur les rangs ennemis. Et si je te dit un ordre, tu l'écoutera, compris ?

Jilano hocha la tête avec force et, saluant Boromir, partit rejoindre les archers. Il leur répéta les ordres du grand chef et banda son arc. Il voyait déjà leurs ennemis sortir des divers bâtiments de Cair Andros. L'Elfe attendit qu'ils soient assez proches. Tout autour de lui, les soldats se préparaient, certains prêts à tirer, d'autres dégainants leurs épées. Les chevaux piaffaient d'impatience. Leurs ennemis approchaient.

"Préparez-vous à tirer à volonté!"

Alors, Boromir vu derrière ses rangs prêts à la bataille, un cavalier, un cavalier en compagnie de quelques autres, disons cinq ou six. C'était les hommes envoyés par Boromir en Ithilien pour quémander des troupes. Alors l'héritier du Gondor vu que c'était Stapian. Monté sur son grand cheval. Il eut tôt fait d'arriver, talonné par les quelques cavaliers. Il débarqua du cheval. Et sourit a Boromir.

- J'ai prévenu ceux d'Osgiliath. La garnison qui était a Cair Andros mais qui a fui en ma compagnie est censé arriver. Il ne sauront tarder. Je voit que vous êtes prêts pour la bataille. Les forces envoyés là bas par le Mordor étaient grandes. Car cette île est le deuxième passage à travers l'Anduin le plus près de Minas Thirit. Et la garnison a du augmenter. Vos cinq catapultes vont vous ouvrir le passage.

Puis il vu Jilano qui semblait se demander ce qui se passait. Et le magicien se dirigea vers l'elfe.

- Bonjours! Je me nomme Stapian. Je suis ce qu'on peut appeler, un Maïar, ou magicien pour la plupart des hommes. J'était sur place lors de la prise de Cair Andros. J'ai malheureusement été repoussé.

Il serra la main de l'Elfe

Jilano serra poliment la main du Maïa et lui adressa un sourire.

"Salutations, Stapian. Je me nomme Jilano, je suis un Elfe vagabond qui accompagne Boromir dans sa quête. Oui, je connais les Maïar, j'ai lu beaucoup de choses à leur sujet. Ravi de faire votre connaissance, je suis moi-même un peu magicien, si j'ose dire. Ainsi, vous étiez à Cair Andros ? Comment vont les choses, là-bas ? Mal, je suppose, puisque vous avez du fuir... Mais pensez-vous que nous allons réussir ?"

Stapian contempla la citée. En ruine, mais citée tout de même.

- Je ne peut rien vous guarantir sur notre réussite. Chers Elfe. Mais il y a certe une chose dont je peux vous assurer, c'est que si nous combattons, nous paieront chèrement notre mort.

Il sourit.

- Denetor place Osgiliath et Minas Thirit en priorité, mais Cair Andros peut-être une excellente route entre les deux rives. Plus éloignée de la citadelle, mais assez grande pour permettre a l'ennemi de traverser et de prendre de revers, les troupes d'Osgiliath.

Ce Maïa était bien pessimiste. Etaient-ils donc certains de mourir ? Jilano poussa un soupir.

"J'espère de tout coeur que vous vous trompez, Stapian, et que Cair Andros n'est pas aussi imprenable que vous le pensez. J'espère aussi ne pas mourir dans cette bataille, mais si c'est le seul de moyen de gagner, alors j'accepte ce destin. Mais soit... Préparons-nous, la bataille va bientôt commencer, et je tiens à bien y participer !"

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

Vu que personne du mal n'a répondu, je vous laisse passee à l'attaque.

OK, qui commence à poster ? Stapian ou Boromir ?

Grimbeorn, a la tête de sont armée, s'avanca dans la plaine entre Minas tirith et Cair andros.

Il n'était pas parti de bonne heure mais avait fini par partir quand même. Il n'allait pas ratée une occasion de se faire de l'Orc, surtout par une si belle journée.

Il arriva a Cair andros, plaça c'est soldat, et dit a Boromir:

Mon Seigneur, me voila avec 2000 garde de la fontaine, et bien pres a m'en servir. Puis je chargée ou avez vous quelque plans en tête?

Boromir sourit en voyant Grimbeorn arriver. Il lui serra chaleureusement la main, puis se retourna et sonna la réunion de généraux dans sa tente. Donc, vint : Haldor, Jilano, stapian et Grimbeorn. Une fois qu'il les vit assis et prêts a l'écouter, il entama la parole.

- Bon! messieux, voici comment nous allons procéder. Je ferait tirer les catapultes du côté est de la ville ainsi on aura une chance de réduire le nombre de fuyards. Ensuite, Jilano fera pleuvoir des flèches sur la ville. Ensuite j'avancerai avec Grimbeorn, Les gardes de la citadelle devant puis les lanciers et les guerriers. Afin de ne pas toucher nos hommes, les archers avanceront derrière l'armée et continueront de tirer sur l'ennemi. Une fois le combat engagé, Haldor chargera vers la ville, a ce moment là, nous allons leur laisser place et ils creuseront une grande brèche dans les troupes ennemies, alors ce ne sera qu'une question de temps avant qu'ils soient en déroute.

Il se tourna ensuite vers stapian qu'il n'avait pas cité dans son plan.

- Vous n'êtes pas sous mon commandement, alors faites ce que vous voulez.

Après, il regarda chacun de ceux qu'il avait convoqué dans sa tente en vérifiant s'ils acceptaient son plan.

Sa semblait une bonne idée a Grimbeorn. Suffisament réfléchie pour réussir, suffisament bourrin pour lui plaire.
Bien sur, si la victoire parait certaine, les Gardes de la citadelle chargeront, c'est un réflexe contre lequel je ne peut rien, se dit-il ironiquement.
Il dit:

Sa me plait bien. Mais, bien que je manque d'expérience et que tu est mon supérieur, mes hommes sont engagée, alors je me permet une remarque.

Dans votre plans tout le monde charge. Moi je pense que si je laissai, sous vos ordre ou ceux de mon Hérault, un minimum, une petite garde, se serait judicieux.

Si un seul ennemie passe, ou que la défaite nous guette, personne ne peut convrir la retraite de vos archer et, éventuelement, de vos catapulte.
C'est risquée.

Puis Grimbeorn se tourna et dit, a Jilano cette fois:

Quand a vous, je pense, a moins que vous n'ayer une meilleurs idée, apres tout je ne connait pas votre force ni vos pouvoir, que vous pourrier être a mes cotée, au devant de l'armée au moment de l'assaut des Gardes de la citadelle.

Mais ce n'est qu'une suggestion.

Boromir regarda Grimbeorn d'un air supérieur.

- Tu crois que je ne connais pas mes hommes. Chaque Ranger de l'hitilien est équipé d'une lame courte et en plus avant de disposer mes hommes, j'ai laissé 200 d'entre-eux à mes catapultes. De toute façon, les cavaliers qui chargeront en dernier s'occuperont entre-autre d'empêcher les ennemis de fuir la citée d'attaquer les catapultes et archers. Et en ce qui concerne la sécurité des chefs, c'est chacun pour sois, votre garde est votre armée. Même si je gouvernerais ce pays j'irais au devant des hommes pour les mener au combat.

Fier de son plan, l'héritier fit en sorte que les autres avaient acceptés son plan. Il sortit de sa tente suivit par les lieutenants. Chacun prit sa place et attendit les commande de Boromir. On pouvait voir de leur point de vue, que de la fumée s'élevait de la ville. Certains étaient partis de la ville par l'autre rivage, mais les soldats présents étaient encore nombreux. Son plan se mit donc en place.

(MJ ?)

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

La défense présente à Cair Andros n'était que les réserves des armées de Minas Morgul et de Cirith Ungol laissées ici pour garder cet avant-poste. Mais la force du fils de l'Intendant était sans nombre et la guerre d'usure tournerait de toutes façons en sa faveur. C'est à ce moment que le spremières flèches furent tirées. Des traits empennés de noir frappèrent de plein fouet le premier rang de soldats de Gondor mais chaque fois qu'un mourrait, deux autres arrivaient. Les boucliers levés, l'Arbre Blanc fier sous le soleil, ainsi marchèrent les soldats de la Cité Blanche. Les remparts se trouvaient encore éloignés d'eux mais les orques n'étaient pas assez nombreux pour couvrir convenablement le mur dans sa totalité. Un bélier se dirigeait vers la porte pour l'enfoncer et ainsi laisser le passage à la cavalerie, bien que celle-ci ne serait pas réellement utile au début du siège.

Un servant de machine de guerre s'approcha de Boromir. Le seigneur avait toute la prestence de ses ancêtres et observait ses hommes avancer. Il avait son cor aux lèvres et faisait de grands tourbillons dans l'air avec son épée, impatient de se prêter lui-aussi dans les combats. C'est à ce moment que le servant le retint :

"Devons-nous tirer ? Les catapultes risquent d'endomager la ville."

Boromir lui lança un regard pleins d'éclairs pour cette insubordination...

Grimbeorn, attendant patiament que sont toue vienne, entendi l'altercation entre les 2 hommes.
Il dit a l'homme:

Non ne tirer pas! On est venu récuperer la villes, pas la détruires. Attendez, restez près, et si jamais la bataille tourne a la défaite, faite feu.
Pour le moment, tout ce que c'est tire feront, c'est des ruines bloquant les routes de nos cavaliers.
Ne tirer pas, dit il cette fois en regardant Boromir, d'un air sévère, car il en avait marre de ces actes inconsidérer et de son arrogances.

Boromir respira profondément et sourit. Il ne portait pas très attention aux dits de se Grimbeorn mais comprit qu'il ne lui faisait pas confiance. Il se tourna vers lui et dit :

- Avez vous déjà mené une charge de la cavalerie dans une rue étroite en face d'orques trapus brandissant des lances et épées longues difformes de tout genre ? En tout cas, mes années d'expérience m'ont apprise qu'en ville, vaut mieux utiliser les fantassins. À quoi bon envoyer des hommes meilleurs en terrain découvert. Et ces ruines causés par les trébuchets, bloqueront l'ennemi dans sa fuite. Nous aurons le temps de reconstruire. Cette ville est déjà détruite et je ne voit pas ce qu'il y a de beau a préserver. Alors, dites-moi est-ce inconsidéré et est-ce que vous pensez qu'en qualité de général et héritier du Gondor je n'agis que par instinct ?

Il se retourna vers les archers et rangers de l'hitilien qui avaient formés une ligne devant l'infanterie et qui brandissaient des flèches de feu.

- Allez-y !

Et sur la ville, il plût de flèches de feu et de boulet. Plusieurs orques moururent à cause des flèches, des incendies, des boulets ou des éboulements de bâtiment. De nombreux fuirent lâchement.

[MJ ?]

La ville fut incendiée, de grandes flammes montaient déjà des bâtiments en ruine de la ville. C'était la panique à l'intérieur. Mais la porte tint bon, les archers orques positionnés sur les murs tiraient à bout portant sur les porteurs du bélier. Mais malgrés les grosses pertes Gondoriennes, la porte sédait petit à petit et allait bientôt craquer.
Les orques mouraient par centène, écraser par les boulets des trébuchet et transpercé par les flèches.
Un des capitaines Gondoriens s'approcha de Boromir et annonça:

"La porte va bientot sédait! Mais l'ennemi semble avoir formé un mur de lancier juste devant, ils ont également regrouper une dizaine de troll armé jusqu'au dent. Que devons-nous faire après la destruction de la porte messir?"

Boromir réfléchit longuement. Puis en souriant se contenta de rallier ses hommes. Se retourna vers le capitaine et dit.

-Aussitôt la porte brisée, que nos hommes se poussent. Nous feront pleuvoir de nos flèches sur les lanciers, et aussitôt les rangs brisés, la cavalerie chargera suivie de l'infanterie.

Il mit la cavalerie sous le commandement de Haldor, et sonna de son cor. Et aussitôt la porte brisée, ils purent voir des ragns serrés d'orques lance pointée qui attendaient une charge mais à leur grande surprise, ils reçurent des volées de flèches de la part des rangers d'Ithilien et des archers du Gondor présent. Puis, sans attendre. Haldor fonça avec toute la cavalerie et Boromir rassembla ses hommes pour l'assaut de la ville. Les trébuchets ne tiraient plus. De peur de tuer de leurs hommes.

- Allez mes amis, venez avec moi, pour le Gondor !