Otage

Dans un même temps, Saroumane, parti d' Isengard, et qui avait d' abord suivi Gandalf, avait pris une autre route que ce dernier, ayant su il y longtemps, grâce à son précieux mais dangereux palantir, l' attaque prévue des Corsaires sur les fiefs. Il allait donc a eux, conformément à la vonlonté du mage blanc, car il supposait que les hommes d' Umbar avait déjà pris les fiefs, bien qu' il n' avait pas osé depuis longtemps maintenant regarder la Pierre, et qu' il ne la regarderai probablment plus jamais.
En effet, à la forntière de ces fiefs, il avait croisé des hommes, femmes et enfants en fuite, disant qu' ils fuyaient devant une attaque d' Umbar, et que le général Vynean avait été capturé par Daska le Corsaire.

Apprennant cela, Saroumane ne perdit plus un instant. Il fit galoper dur son nouveau coursier gris, de manière à arriver à temps pour parler aux seigneurs d' Umbar. Il passa telle une ombre floue vers les quais de Dol Amroth, où les corsaires, lui avait-on dit, avaient leurs seigneurs et leurs embarcations.
Son cheval galopa jusqu' aux portes de la villes, où, grâce à son pouvoir de persuasion, il fut amené par des gardes corsaires à Dalamyr et Daska et Vynean, qui se tenaient prêts à embarquer.

Là, Curunir descendit de cheval et demanda à parler aux seigneurs d' Umbar, usant de la puissance magique de sa voix [sort confusion]:
"Puissants seigneurs corsaires, je vous apporte mon salut."
Il se tourna vers Dalamyr:
"Je reconnais à vos traits fins, intelligents et pourtant si royaux et puissants, qu' ils suffiraient à faire trembler vos ennemis que vous devez être l' amiral Dalamyr, l' ennemi le plus craint de tout les peuples ayant un accès à la mer."
Il se tourne maintenant vers Daska:
"Et vous devez, si je ne m' abuse, être "Daska le Corsaire", comme je vous appelle. Savez vous que les généraux ennemis et amis vous considèrent comme un adversaire sans pareils au combat singulier? D' ailleurs, à vos pieds se trouve la preuve de votre valeur."
L' istar parle aux deux seigneurs d' Umbar:
"En fait, si vous le permettez, j' ai une requête à vous faire: ou plutôt un défi à vous proposer. Je serais clair et bref: il se trouve que le général que vous détennez, ici présent, captif, pourrait m' être très utile. Que pensez vous d' un duel dont le vainqueur remporterai l' otage? Bien entendu, si je perd, Daska, vous serez justement rétribué pour votre prisonnier. Je vous donne ici une chance de gagner de l' argent facile, et de conserver votre otage en plus, si vous gagner. Il vous suffira de m' affronter, avec la permission de Dalamyr, si il influe sur le sujet. Que pensez vous de cela? Vous avez tout à y gagner, car si j' ai l' avantage de maîtriser les arts magiques, vous êtes expérimenté au combat, et redoutable avec votre Faucheur. Qu' en dites vous?"
Il attendait la réponse de Daska, et accessoirement celle de Dalamyr.

Le mage sembla contrarié, puis tenta son va tout:
"Allons, mes seigneurs, ne nous énervons pas. Je ne demande pas un duel à mort, et loin de moi l' idée d' un duel déloyal. Juste la possibilité pour Daska de tenter de tirer beaucoup d' argent de son otage, qui, si il gagne, restera même sous son autorité. En effet, je vous le dis en vérité, vous ne risquez rien.
Il y a tout à gagner pour Daska dans un affrontement "amical". Si il gagne, il empochera pas moins de 15000 pièces d' or, plus du bois et du fer. Largement de qui s' offrir un nouveau bâteau, et même plusieur, et gardera son otage. De plus, il gagnera une réputation bien accrue, car il aura vaincu un istar. Si il perd, l' otage me sera remis, mais d' un côté, Daska n' y perdra rien, sinon qu' il emmagasinera de l' expérience en combat, ce qui, sauf erreur de ma part, ne serait pas de refus pour lui, car cela le rendra encore plus fort qu' il ne l' est déjà. D' autres parts, si Daska refuses le duel, cela passera comme une lâchetée, et entâchera sa réputation.
Je propose un duel loyal, voyez: chaque combattant aura droit à une monture et 2 armes maximum, quel que soit leur type. Si vous voulez, pour compenser l' avantage de ma magie, je suis prêt a prendre juste mon bâton pour seul arme, et à laisser quelques de mes protections, ma cape et mon palantir, de côté, afin que le duel soit plus juste.

Il n' y a pas, comme vous le voyez, d' entourloupe. Et de toutes façons, que pourrais-je faire face à vos armées, alors que je suis seul. Pensez que ce peut gagner Daska peut influer sur son futur. Car je pense que des hommes puissants et ambitieux comme vous ne vous arrêterons pas là. C' est tout du moins ce que m' ont dit les fuyards que j' ai croisé en chemin. Il est probable que d' autres combats vous attendent, et que pèse un otage, quand on peux gagner beaucoup, et de toutes façons s' aguérir.
Il s' agit de mon offre, que je demande de considérer. Moi, tout ce que j' ai à gagner, c' est un otage dont j' espère pouvoir tirer profit, afin, je ne vous le cache pas, d' espérer accroitre ma puissance."

Le mage attendit la réponse sur son nouveau cheval gris.

Le mage tenta de dévier le carreau d' un impact magique, puis s' en fut, en criant vers les bateaux qui s' en allaient:
"Oh, mais j' ai bien l' intention de vous revoir, Daska. Et plus tôt que vous ne le pensez. Vous avez été bien fou de refuser mon offre pourtant loyale, et vous pourrez le regretter plus tard..."

Puis il s' en fut, en direction de Dol Amroth.