Mission...

Depuis Ëdoras, les troupes à pied de Boromir n'avaient que peu soufflés. Peu habitués aux voyages incessants et aux routes. Plusieurs jours après leur départ, le capitaine ordonna l'arrêt. Ils pourraient donc se reposer et arriver à Minas Thirit avec toute leur gloire. Mais ce n'était pas ce qu'avait en tête le capitaine. Le fait de s'arrêter non loin de la forêt de Druadan semblait banal aux soldats qui s'écrasèrent sur le sol et peu à peu, commençaient a dresser leur tentes et a enlever leurs armures. Le capitaine, nommé Doralion avaient reçu un ordre clair de la part de son seigneur Boromir. Amener du bois à Minas Thirit, afin de dresser des palissades. Donc, certaines compagnies durent abandonner leur armures afin que les autres en fassent fondre le métal de manière a créer des clous pour créer ainsi des chariots avec le bois des arbres afin de transporter d'autre bois. Les quelques chevaux qu'ils avaient amenés leur servit de transport. C'est ainsi qu'à chaque compagnie qui coupait du bois, une autre surveillait les ombres de la forêt.
Dans sa tente, le capitaine Doralion réfléchissait. Il y avait des chances que les habitants n'apprécient peu que les hommes du Gondor coupent leurs arbres, mais il n'avait pas le choix. À l'extérieur, à cause du manque de chevaux, ce furent les hommes qui tirèrent les chariots. Malgré la petite distance qui séparait minas Thirit de l'endroit où ils étaient, le capitaine avait ordonné à ceux qui commandaient l'envoi du bois, d'attendre au lendemain avant de l'envoyer. Donc toute la nuit. Les hommes allaient se coucher, pendant que les autres se levaient afin de continuer le travail des précédents.
Doralion, qui avait toujours peur des habitants des bois, sortit de sa tente et s'approcha d'un petit établissement de fortune où les soldats coupaient les arbres avec leurs épées. Il alla donc s'informer...

[suite à un MJ]

Maître du Jeu Nombre de messages : 2756 Date d'inscription : 18/10/2008

Les soldats n'étaient pas habitués à ce genre de travail et la plupart des arbres qui tombaient étaient mal coupés, les épées étant bien moins puissantes que les haches dans ce genre de travail. Mais bientôt un lourd convoi fut envoyé à Minas Tirith pour que la palissade commence à être levée. Le reste se passa sans incident et enfin, Minas Tirith avait une palissade de bois, mais de fortune : elle ne tiendrait en aucun cas un ennemi en respect longtemps...